Le gantier de Sainte-Florine
Datte: 02/07/2017,
Catégories:
f,
fh,
Inceste / Tabou
religion,
magasin,
fgode,
pénétratio,
fsodo,
initfh,
Masturbation
... l’humidifier avant, à défaut d’huile, on peut employer de la salive aussi.— De la salive… ? demanda-t-elle timidement. Marin la regarda. Elle était jolie dans sa robe bleue, manches juste au-dessus du coude, décolleté plongeant. Elle avait l’air de ne plus savoir quoi faire. — De la salive, avec votre main ou votre bouche. Timide, hésitante, elle porta les doigts à sa bouche puis frôlant la verge, elle la caressa. — Ce n’est pas assez ! Crachez dessus, ça doit être bien mouillé. Émilie courba le buste, et laissa sourdre un filet de salive entre ses lèvres. — Mademoiselle de Sainte Aude, j’ai dit de cracher. Avec ce que vous faites, on ne noierait pas un morpion ! Relevant les yeux, elle le dévisagea, furieuse, puis se raclant lentement la gorge, elle cracha avec rage sur le gland. — Bien, étendez la salive, puis enfilez la protection. De son index, elle étendit le crachat, couvrant la surface du gland. Elle coiffa le nœud de la gaine en chevreau. Elle saisit les deux cordelettes et tira fortement vers le bas, enfonçant la tige palpitante dans l’étui. Marin gémit sous le brusque mouvement. — Ouch ! Voilà ! Ce geste réclamerait un peu plus de douceur mais bon, vous savez comment faire maintenant. Il allait extraire son sexe de la housse, quand elle arrêta son geste. — Attendez… n’y a-t-il pas moyen aussi d’essayer, pour se rendre compte de… Marin chercha son regard, la détailla, examinant la naissance de ses seins, les lourds cheveux serrés en chignon qui libéraient son petit ...
... cou. Ses doigts saisirent le premier bouton à la naissance de ses seins qu’il dégrafa. Puis il passa au second… le temps s’éternisait. Le souffle d’Émilie s’accéléra. Elle sentit la peau rugueuse des doigts contre sa poitrine. Il écarta des deux mains le bustier, libérant les petits seins ronds. Les tétons bombaient gracieusement. La robe tomba dévoilant son pubis sous une jarretière avec bas blancs. Elle voulut couvrir son sexe, mais elle arrêta son geste. Il plongea les yeux vers le pubis sous lequel ses lèvres frissonnaient. Elle s’approcha du tabouret. — Non, pas le tabouret ! Sur la table ! Et laissez pendre vos jambes. Émilie regardait, stupéfaite. La verge se dressait comme sur les dessins, épaisse, lourde. Les testicules pendaient, presque indécents. Elle frissonna, se rendant compte tout à coup de la fraîcheur de l’atelier. Elle s’allongea sur le dos, s’appuyant sur les coudes, voulant voir. Elle sentit la douceur des peaux de cuirs dans son dos, l’odeur musquée qui s’en échappait. Émilie regarda Marin s’approcher nu, la verge arquée enveloppée de cuir. Elle eut l’impression qu’elle allait se faire saillir par un animal. Marin plia son érection, et la posa sur la fourchette des lèvres sexuelles. Elle suivit la lente intromission du pal dans son ventre et rejeta la tête en arrière quand les bourses vinrent écraser ses fesses. — Ohhh, oui… c’est bon.— Tu vas jouir, ma belle ! Puis il murmura en commençant ses longs va-et-vient : Marin la regarda jouir. Elle avait saisi ...