Chroniques immortelles (6)
Datte: 27/11/2017,
Catégories:
Divers,
J’ai eu du mal à trouver le sommeil. Mais ensuite, j’ai dormi comme une brute. Je me réveille collée à May, un bras passé autour de son torse. Une katoï… Je n’en avais jamais vu, qu’est-ce qu’elle est belle... J’ai récupéré… Et je sens des frémissements dans mon bas ventre. Si l’on excepte ma crise de furie envers Wong hier et mes galipettes avec Sharka, je suis à la diète depuis dix jours ! Mes mouvements finissent pas réveiller May. On échange un sourire. Je la désire… et çà doit se voir ! Manifestement May est réceptive. — Tu veux ? — Bien sur Christine, j’ai très envie moi aussi. — Mmm, dis-je dans un soupir, aujourd’hui j’aurai bien aimé que tu sois en fille. J’ai besoin de douceur après ces dix jours passé en forêt. Oh mais ? Tu es en fille aujourd’hui ? Oh ben çà tombe bien au fond. Il se passe alors quelque chose qui me laisse perplexe. May semble surprise, étonnée… Qu’est-ce que j’ai pu dire qui l’ait choquée ? Wong avait-il anticipé mes désirs ? — Euh… pardon May, çà ne va pas ? Je t’ai blessée ? — Non… non, c’est rien, j’ai juste été un peu surprise c’est tout. Je ne comprend pas. Mais déjà May est redevenue souriante et nous commençons nos embrassades. Elle est délicieuse ! Elle se prête à tous mes désirs, toutes mes caresses, frémis sans retenue. Nous passons en soixante-neuf, nous croisons nos jambes, chatte contre chatte, nous nous masturbons frénétiquement à tour de rôle. J’adore la lécher ! Elle a un goût miel et émet des jets de liquide à chaque jouissance, ...
... jets qui m’inondent le visage. Après trois ou quatre orgasmes, nous décidons d’en rester là. Et puis je suis attendue, et ce n’est pas très poli de faire attendre Monsieur Wong ! — Je file à la rivière, lui dis-je, j’ai besoin de faire un brin de toilette. Je t’adore ! — Je te prête un sarong si tu veux faire couleur locale ? Un sarong ? Pourquoi pas… Encore qu’une Thaïlandaise en sarong, blonde aux yeux bleus, çà ne doit pas courir dans la campagne thaïlandaise. Mais je me sens très bien dans cette tenue en revenant de la rivière. Je retrouve May en compagnie de Wong sur la terrasse de la maison. Ils discutent avec animation. Je ne sais pas ce que May lui raconte, mais Wong semble très attentif à ce qu’elle lui dit, limite perplexe. Ils s’interrompent en découvrant ma présence. Oh ? — Excusez moi monsieur Wong. J’arrive mal ? Voulez-vous que je revienne dans quelques minutes ? — Non Christine, aucun problème. Au contraire, nous parlions de toi : de tes capacités, de tes progrès, jusqu’où peut tu peux aller dans ta formation. Rien de confidentiel dans tout çà. Viens déjeuner. Et s’il te plaît, oublie le vouvoiement à mon égard ! Le vouvoiement… malgré tous mes efforts, je n’y arriverai pas, je n’arriverai pas à tutoyer Monsieur Wong ! Je ressens par toutes les fibres de mon être son incroyable personnalité. Je ne peux pas. Mais il aura le bon goût de ne pas m’en tenir rigueur... Déjeuner inhabituel pour moi. Je n’ai pas l’habitude d’attaquer la journée avec du porc au basilic ...