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Une jeune épouse si innocente
Datte: 02/07/2017, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur,
... boite emballée comme un cadeau. Arborant un sourire éclatant il l'avertit benoîtement : - Comme promis voici l'original et cinq copies de ton clip vidéo! ... J'ai gardé une copie pour mon usage strictement personnel... Pour t-assurer que je ne m'en servirai plus comme moyen de pression j'ai rédigé et signé un document qui te met à l'abri de tout chantage en employant cette copie. En lisant le document, Carol poussa un gros soupir de soulagement, il était rédigé sur du papier à l'en-tête de la compagnie de Rashid Akbar, signé par Rashid et son notaire. Il statuait que pas une partie du film qui avait été tourné la nuit de son agression ne pourrait être utilisée pour la contraindre à obéir de quelque façon que ce soit à Ras-hid, s'il transgressait cet engagement Rashid devrait leur revendre la société si chèrement acquise à 50% de sa valeur! ... C'était bien plus que Carol n'espérait obtenir comme as-surance de sa bonne foi. Le téléphone intérieur bourdonna de nouveau et sa se-crétaire l'avisa : - Votre mari est en ligne... Carol empoigna nerveusement son combiné et répondit immédiatement : - Hey chéri... Puis elle l'écouta préciser la raison de son appel avant de répondre : - Oui... Monsieur Akbar est ici... Dans mon bureau... Il est arrivé un peu plus tôt pour ajouter une paire d'articles à notre convention... Tout est en ordre... Non... Ce n'est pas la peine que tu viennes me rejoindre... On te rejoint tout de suite dans la salle de conférence... Se levant elle s'adressa à ...
... Rashid : - Je vous accompagne à la salle de conférence... A sa grande surprise Rashid lui empoigna l'épaule et la tourna lentement vers lui. Pantelante plus d'excitation que de peur, Carol lui jetant un oeil suppliant alors qu'il précisait : - Il n'est nul besoin de nous précipiter ma chérie... La conférence ne commencera pas avant une bonne quinzaine de minutes... Comme il se penchait sur elle, elle entrouvrit les lèvres et permit à sa langue fouineuse de s'entortiller autour de la sienne. Quelques instants plus tard, agenouillée sur le sol de son bureau Carol regardait Rashid déboucler la ceinture de son pantalon avant de le laisser choir au sol. Son caleçon rouge se trouvait à quelques centimètres de son visage, l'avant en était déformé par une bosse fort conséquente. Pointant sa langue Carol suivit le contour de la masse charnue qui gonflait l'avant de son caleçon. Tendant ses mains elle roula son caleçon sur ses hanches délivrant l'énorme virilité de sa prison. Quelques secondes plus tard, elle lui taillait une savou-reuse pipe. Une fois arrivée dans la salle de conférence, Carol s'as-sit à coté de son mari alors qu'on servait le café. Il lui demanda si elle voulait un peu de crème avec son café, Carol ne répondit pas... Elle avait bien assez de crème dans son estomac... Une bonne pinte de crème épaisse provenant des couilles de l'homme qui se tenait face à son mari. Se pourlèchant les lèvres, elle vérifia qu'il ne subsistait aucune trace de son forfait sur ses lèvres ...