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Une jeune épouse si innocente
Datte: 02/07/2017, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur,
... tout de suite. Carol frémit en entendant la voix familière au bout du fil. - C'est vous ma ravissante amie... J'ai attendu votre appel toute la matinée... Je me demandais si tu avais bien reçu mon mail... - Mais... Mais... J'ai fait tout ce que vous vouliez... J'ai convaincu Jean de vous vendre sa compagnie... Il... Il m'a dit qu'il vous a rencontré il y a une paire de jours et vous avez réglé les conditions de la vente... Marmonnait-elle affolée. Au bout du fil Rashid se mit à glousser, il se réjouissait d'entendre sa ravissante proie paniquer au bout du fil. - Mais chérie... Rien n'est encore signé pour l'ins-tant... Il ne s'agit que d'une entente verbale... Et tu connais le seul engagement oral que j'apprécie vraiment, chérie... Tu comprends ce que je veux dire... Je parle du type d'accord oral que tu m'as prodigué il y a une paire de semaines... Bouillonnant de dégoût, Carol se rappela le type d'ac-cord oral auquel Rashid se referait. - Mon Dieu... Comment pourrai-je oublier cette horri-ble journée? ... Il m'avait obligée à me prosterner à genoux... Et j'avais du le contenter... Avec ma bouche! Frissonnait-elle encore de révulsion à ce souvenir. Carol pausa la main sur son estomac secoué de nausées, se remémorant alors comment elle avait du avaler son foutre gras avant de le vomir ensuite dans les toilettes du restaurant. Tôt l'après-midi même, ayant bloqué son après-midi et son début de soirée, Nerveuse, Carol se dirigeait vers les docks. Tournant sur la jetée 11, ...
... elle vit le navire de transport af-frété par la "compagnie du commerce du moyen orient". Elle rangea sa voiture, puis gagna la passerelle qui re-liait le bateau au terminal. Elle s'identifia auprès du marin posté au pied de la pas-serelle, elle le vit alors vérifier sur son planning de bord avant de l'aviser : - Vous devriez trouver monsieur Akbar à deux ponts d'ici, du coté de la cale N° 3 à l'arrière du navire. Après moult hésitations Carol gravit la passerelle, chan-celant sur ses hauts talons blancs qu'elle portait le matin même à son bureau. En pénétrant sur le bateau, Carol trouva tout de suite l'escalier qui lui permit de descendre deux étages plus bas. Se dirigeant vers l'arrière du navire, elle entendit retentir toute proche la voix familière de son bourreau, a voix qui lui répondait lui sembla aussi assez familière, mais elle ne parvint pas à en identifier l'auteur. Le claquement de ses talons sur le sol métallique avait signalé son arrivée, le visage souriant de Rashid apparut en bout d'allée alors qu'il l'accueillait fort civilement. - Par ici ma chérie... Tu es aussi ponctuelle que d'habitude! ... Comme elle s'avançait timidement sur le seuil métallique de la cale, Carol regarda l'auteur de l'autre voix familière qu'elle n'avait pas identifié. - Tu connais Dave, n'est ce pas ma chérie! ... l'inter-rogea Rashid. Et de fait elle connaissait Dave Mathews dont elle avait repris le département financier dans la compagnie de son mari. Carol grinça des dents en observant ...