Le défi - Histoires de Sexe

Le défi

... réponse à sa position indécente.— Ne te fie jamais aux apparences, si c’est dans la limite du raisonnable, ce soir je suis prête à te faire plaisir et je commence déjà.— Pour ce qui est du plaisir, ça semble partagé, constatai-je. Il est vrai que j’avais trouvé son point faible et je commençai à la prendre par les sentiments. Mes doigts s’actionnaient de plus en plus et ses réponses commençaient à être de plus en plus entrecoupées. Je devais profiter de cette situation. — Jusqu’où as-tu fixé la limite du raisonnable ce soir ? Le plaisir a-t-il des limites, et le raisonnable c’est quoi pour toi ? rétorquai-je en lui pistonnant violemment le fond de sa chatte. Prise à son propre jeu et ne voulant pas perdre la face, entre deux halètements elle proposa : — Je ne mets pas… de culotte… Même si je trouvai sa proposition intéressante, bien qu’elle n’ait rien d’exceptionnel, j’avais bien l’intention d’obtenir plus et de pousser bien plus loin le vice. Aussi je voulus savoir jusqu’où elle pouvait aller. — Bien, c’est déjà un début, mais tu ne te foules pas, tu n’as déjà pas de culotte ! Je pensais que tu étais capable d’aller en ville dans cette tenue ? répondis-je en sortant mes doigts.— Vicieux… continuuuuue !… m’implora-t-elle aussitôt en réintroduisant ma main dans son minou dégoulinant— Tout se mérite, lui répondis-je en sortant ma main et en lui donnant mes doigts à sucer.— Tu ne crois pas que je vais m’afficher entièrement à poil, avec ce froid !— Si ce n’est que le froid, ...

... je t’autorise un seul vêtement et une paire de chaussure.— OK, si ça peut te faire bander et que tu me promets de continuer tes caresses, je suis partante, proposa-t-elle en léchant goulûment mon doigt— Marché conclu. Tu me suis sans rien demander, tu ne sais pas où on va, ni avec qui, ni ce que c’est, prépare-toi à un quart d’heure de marche. La seule chose à prendre pour y aller, c’est ton long manteau et une paire d’escarpins. Les consignes sont claires. À poil sous ton manteau de fourrure, avec une paire d’escarpins de dix centimètres de haut et basta, comme une salope. Avant de partir, un ou deux verres d’alcool te sont autorisés. Pour te donner du courage et te réchauffer, rien de tel. Pour tenir sur tes escarpins, c’est moins sûr, mais je suis à tes côtés au cas où…— Tu n’es qu’un vicieux et un pervers qui abuse des jeunes filles en détresse, me dit-elle sur un ton résigné mais complice. Après avoir enfilé ses escarpins, je peux déjà contempler le résultat dans la glace du couloir. — Comment te trouves-tu ? Perchée à dix centimètres du sol, ses jambes bien galbées remontent vers ton petit cul tout bombé et provoquant. — Pas mal, je devrais faire de l’effet !— Voyons cela. En passant une main dessus son petit cul, je peux déjà sentir qu’il est chaud… Que dire, quand je passe mes doigts entre ses cuisses, ils s’enfoncent déjà tout seuls, happés par ta chatte. — Hummmmmm ! Tu fais déjà beaucoup d’effet ! et tu sembles aussi t’en faire toute seule…— Petit pervers, bas les ...