1. Je fais la salope suite , Les Petits jeunes de midi


    Datte: 28/11/2017, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    Nous étions lundi, et le we avait été encore bien rempli comme mon postérieur. Pascal m’accompagnait la matin après le petit passage dans son boxe. En bonne salope je lui avais demandé de me sodomiser et je jouir dans mon cul. Je ne pensais qu’à ça. En arrivant au bureau, je suis allée me faire une petite fraicheur, car avec mes orifices bien ouverts, j’ai serré les fesses. Cela ne m’a pas empêché de continuer à faire ma salope, mais j’adore cela. Moi qui avant était si réservée. C’est de la pure décadence. Le midi je décidais de forcer le destin, car les deux petits jeunes m’avaient particulièrement émoustillée. J’y ai pensé plusieurs fois dans le we. Je retournais pour déjeuner dans la brasserie du vendredi en espérant les revoir pour me faire draguer. Je me suis installée, bien en évidence, toujours avec mon attitude de chienne en manque. Le repas s’est passé, le café est arrivé, j’ai réglé l’addition sans voir personne. J’étais un peu déçu. Je retournais au bureau en flânant. En passant au coin d’une rue, je me suis retrouvée, nez à nez avec Vincent et Jonathan. J’ai été tellement surprise que j’ai eu un élan en arrière. Vincent avec un grand sourire « Bonjour Helen » Moi « Bonjour » j’ai eu le réflex de lui tendre la main, car il s’approchait de moi pour me faire la bise. Vincent « nous sommes contents de vous voir » et de rajouter « je n’ai pas arrêté de penser à vous tout le we » Moi « avec une jolie fille à chaque bras » Vincent « non nous sommes restés sages tout ...
    ... le we, nous ne sommes même pas sortis, hein Jonathan » Jonathan ne répondait pas Moi « les pauvres petits ils sont restés seuls tout le we, alors qu’il y a tant de belles jeunes filles disponibles sur Paris » Vincent « oui mais elles ne sont pas aussi jolies que vous » Moi « Vincent, je ne suis pas une jolie jeune fille, je suis une femme, je ne suis pas votre petit copine d’école, je travaille » et en regardant ma montre « il faut que j’y aille » Vincent un peu décontenancé « vous ne parlez que de travail » Moi « Oui Vincent, je ne suis plus étudiante, il faut que je mange » Vincent « vous aurez bien le temps de prendre un café » Moi « mais il n’y en a pas dans la rue, il faut que j’y aille » Vincent « mais mon oncle habite à pas 5 minutes et en plus il a une machine à café à capsule avec laquelle vous pourrez choisir les aromes, c’est bien meilleur que celui que l’on a bu la dernière fois » J’allais répondre, lorsque Jonathan qui ne parlait pas beaucoup dit « oui vraiment excellent, sans comparaison » Moi en regardant ma montre « vous êtes gentil, mais il faut que j’y aille, je vais être en retard » Vincent « c’est las vacances, c’est plus cool en ce moment, il y a moins de travail, vous n’êtes pas à 5 minutes, s’il vous plait » il adopta un petit air gentil qui m’a fait plus ou moins craqué. Moi « j’accepte, mais pas longtemps. Il habite où votre oncle » Vincent « XX rue XXXX 5eme étage » Moi « avancez, je vous rejoins, je ne veux pas que l’on nous voit entrer ensemble » ...
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