1 fion, 2 bites: 3 raisons de jouir!
Datte: 29/11/2017,
Catégories:
Anal
Hardcore,
Gay
... comme un piquet. Et puis, surtout, moi, ce qui m’excite à mort, c’est qu’on m’insulte, qu’on me traite comme la roulure que je suis. “Sale pédale, sale pute, on va t’exploser le container à merde, que tu pourras plus t’asseoir de quinze jours, sous-merde!!” Des mots doux comme ça, et j’avale l’obélisque par le bas!!Après tous ces amuse-gueule, il a fallu en venir à ce pourquoi on était là. Hyper-excité, au bord de juter, baveux de salive, le cul éclaté, la teub rouge, j’ai gueulé après mes deux démonte-pneus. Ça n’a pas été simple. Jean-Loup s’est allongé sur le dos par terre. Hop, une capote sur le dard, un coup de lube, et, accroupi sur lui, je me suis mangé le morceau. Puis je me suis allongé sur lui en lui roulant un maxi-patin. Restait plus à Saïd qu’à se frayer une place dans mon trou déjà bien occupé, en levrette, ma position favorite de pute. Ça rentrait pas, malgré ma bonne volonté, la sienne et le lube qui nous poissait partout. J’ai gueulé à Saïd: “T’es pas un mec, c’est qu’une limace que t’as entre les cuisses, explose-moi si tu te dis un homme!!” Rien de tel! Ça l’a vexé! J’ai cru que mon cul allait se déchirer des couilles au bas du dos. Je me suis senti m’ouvrir comme une orange. J’étais dans un autre monde, dans celui de mon fantasme, tant pis si j’en crevais. Mes deux pines, mes deux pines, bordel!!! Celle de Saïd a fini par se frayer un chemin tout contre sa collègue. Le gland a fini par passer. Je n’arrivais plus à respirer. Quand les deux bites se sont retrouvées côte à côte dans mon boyau hyper-dilaté, j’ai poussé un long cri de victoire, au septième ciel. D’un coup, en un long jet, j’ai joui, sans me toucher, inondant le ventre de Jean-Loup déjà en sueur. Ils m’ont filé tant bien que mal quelques coups de pine, mais c’était trop serré, et trop bon! Jean-Loup a gerbé sa jute le premier, suivi rapidement de Saïd. Et puis ils ont déculé. Je me suis retrouvé le cul béant, ouvert, couvert du foutre de leurs capotes qu’ils ont déversé sur moi.