1. Le commencement


    Datte: 29/11/2017, Catégories: fh, jeunes, couple, Collègues / Travail amour, Oral

    ... Il le dit avec une telle tendresse dans ces moments d’intimité. J’ai envie de lui faire plaisir, il est déjà bandé alors je descends lentement vers son pénis, je le lèche tout d’abord pour ensuite le mettre dans ma bouche le plus profondément possible. Je masse ses couilles avec une main en même temps. Je lèche son gland du bout de ma langue, ça le fait craquer à tous les coups. Je lui fais plusieurs minutes de ce traitement puis je sens ses bras me saisir les épaules et me remonter à sa hauteur. Il m’embrasse intensément et je sens ses mains dans mon dos défaire mon soutien-gorge. Même si ce n’est pas la première fois qu’il voit mes seins, ça me gêne encore. Et s’il les trouvait laids ? mais non, c’est ridicule ! il passe son temps à me dire qu’ils les adore, mais s’il mentait… Hum ça c’est plaisant, je sens sa langue sur mes seins, il les aspire. Je descends ma main jusqu’à son pénis et le masturbe pendant qu’il continue de s’occuper de ma poitrine. Tout était parfait jusqu’à ce que j’entende cette fameuse phrase : — J’aimerais tellement pouvoir te faire la même chose. Cette phrase me bloque à chaque fois, mais pourquoi ne comprend-t-il pas. Ou plutôt pourquoi ne suis-je pas capable de lui expliquer. J’aimerais pouvoir lui dire que je l’aime à la folie et qu’il est la première personne depuis mes treize ans à pouvoir me toucher sans que je panique, mais ça serait trop dur. Comment réagirait-il en découvrant mes secrets ? Et s’il ne me regardait plus jamais comme avant ? ...
    ... est-ce que je le supporterais ? Est-ce que je ferais comme d’habitude : FUIR ? — Quoi qu’est-ce qui se passe?— Mais rien Simon, je suis désolée j’aimerais vraiment te donner ce que tu veux, mais j’en suis incapable.— Ça ne fait rien mon amour, je ne disais pas ça pour ça, c’est juste que j’aimerais te faire plaisir moi aussi. Mais ça ne presse pas.— Oui je sais chéri, t’inquiète pas, je t’aime. Je sens ses mains de nouveau sur moi. « Ce n’est pas grave », ces mots résonnent dans ma tête. Bien sur que c’est grave, je l’aime, je devrais y arriver. Je veux le lui prouver, j’essaie toujours sans y arriver. Je sens sa main glisser sur mon pantalon, ses doigts toucher mon intimité par dessus le tissu. Le frottement qu’il crée me fait du bien, j’aime ça. Mais à quoi je pense… ? Je n’ai pas le droit d’aimer ça ! Dépêche-toi Sabrina, enlève sa main ! Je l’ai retirée, enfin. Pourquoi il grogne, pourquoi je le déçois encore ? Comme je voudrais lui donner ce qu’il veut ! Je le pousse sur le dos et retourne à ma position de départ. Ma bouche englobe son pénis, je commence déjà mon va-et-vient. Je le sens bien dur dans ma bouche. Comme il est excité depuis un bon moment et qu’il n’est pas très résistant, je ne devrais pas en avoir pour des heures. Je suce son gland en le chatouillant avec ma langue, je vais lécher ses couilles et les sucer un peu aussi. Ça fait quinze minutes maintenant, il me prévient qu’il va venir, je me retire et il finit le travail à la main pour venir dans un mouchoir. ...