1. La maman dévergondée - 1° partie


    Datte: 29/11/2017, Catégories: Inceste / Tabou Masturbation Première fois

    Un jour, Maman a cessé de se cacher pour se masturber. La première fois que je l’ai vue, elle se tenait à quatre pattes sur la table du salon, complètement nue. Elle tenait dans sa main droite un drôle d’engin dont j’ai su plus tard que c’était un vibromasseur ; c’est le bruit de cet appareil qui a attiré mon attention et m’a fait sortir de ma chambre où je pratiquais la même activité intime en toute innocence, ignorant que Maman pratiquait de même, simultanément, avec son propre corps.Comme elle était en train de monter droit vers l’orgasme, elle ne m’a pas remarqué tout de suite. Sa tête était levée vers le plafond et elle regardait dans le vague, les yeux retournés, et son gémissement guttural, comme venu d’outre-tombe, s’ajoutait au bourdonnement de son jouet intime. J’étais impressionné, bousculé dans ma croyance que les mamans ne faisaient rien de tel avec leurs corps, et j’ai découvert ce jour-là que la mienne était libre.Le vibromasseur était un gros Hitachi qui se branchait sur secteur, et qu’elle promenait le long de sa vulve. Puis elle l’a bloqué à un endroit que je savais être celui du clitoris, pour l’avoir vu dans des pornos sur Internet, mais que je n’avais jamais vu en vrai, parce que j’étais puceau et que les femmes représentaient encore pour moi un grand mystère – malgré mon expérience de quadragénaire, elles le sont toujours, d’ailleurs.Elle s’est brusquement tendue, en poussant un cri si grave que je n’aurais jamais cru une voix féminine produire ce son. ...
    ... Elle s’est tendue. De son sexe s’est écoulé une petite fontaine claire ; j’ai cru que c’était du pipi, et ce n’est que plus tard qu’elle m’a expliqué. Puis elle m’a vu, et m’a souri, nullement gênée.Au début, cela m’a légèrement choqué. Son action avait quelque chose d’a****l, dans cette position. Si je l’avais prise en levrette, sans crier gare, je crois qu’elle n’aurait pas protesté, et qu’elle aurait même apprécié le geste. Elle prenait un malin plaisir à briser tous les tabous, en toute liberté.– Tu aimes ma chatte, a-t-elle demandé en se retournant sur le dos, cuisses largement écartées pour me montrer son buisson intime ? Tu sais, c’est par là que tu es né il y a dix-huit ans, tu sais ?Devant mon air troublé, elle a éclaté de rire. Je rougissais.– Tu ne vas pas me dire que tu n’as jamais sucé de fille ? Un grand garçon comme toi, beau, bien fait, séduisant !– Si. Je ne l’ai jamais fait.– Peut-être que tu préfères les garçons ? Tu peux tout me dire, tu sais. Tu veux que je t’initie ?Je ne répondais pas.– Ce que je te propose est trop tabou pour toi, on dirait. Tu as besoin de temps pour franchir les barrières des interdits. Peut-être que tu préfères une autre femme ?– Qui ?– Une amie, une personne que j’aime beaucoup, bisexuelle comme moi. Elle s’appelle Alicia, et, comme moi, elle est une super coquine. Une nuit, elle m’a susurré à l’oreille qu’elle te trouve mignon et qu’elle aimerait bien avoir du sexe avec toi. Tu es d’accord pour qu’elle t'initie ?– J’aimerais la ...
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