Fellation impromptue
Datte: 16/06/2017,
Catégories:
fh,
inconnu,
voiture,
autostop,
intermast,
Oral
Je suis un commercial de 44 ans. Du charme, à ce que disent les femmes que je connais ou que j’ai connues. Etant adolescent, j’étais timide et romantique avec les filles. Gêné par un complexe : je ne me trouvais pas assez musclé pour plaire. Il est vrai que je suis resté fin et que je ne serai jamais un athlète, mais bien proportionné dans l’ensemble : 1.84m pour 72 kg… J’ai connu ma première « expérience » sexuelle assez tard, vers 18 ans. Pas géniale. Nous étions maladroits tous deux. Depuis, les rencontres aidant, la timidité disparaissant peu à peu, j’ai progressé. Je note toutefois que mes aptitudes varient selon ma partenaire et les circonstances. Je peux « assurer » certaines séances amoureuses pendant des heures et dans toutes les figures et être nul à d’autres moments. Si la plupart des hommes étaient honnêtes envers eux-mêmes comme envers autrui, ils feraient la même constatation. Mais, baste ! Afin de ne pas commencer trop fort, je vais tâcher de vous raconter une aventure qui m’est arrivé l’année dernière. D’autres confessions suivront dans le désordre selon mes envies du moment et l’intérêt manifesté par les lectrices et lecteurs. Elle commence comme un fantasme. Je circulais en voiture dans ma ville, en route vers un rendez-vous pour lequel j’étais en avance. Une affaire importante. J’avais décidé de laver ma voiture avant de m’y rendre, mettant à profit ce laps de temps pour mettre les apparences automobiles de mon côté. Arrêté à un feu tricolore, j’entends ...
... toquer à ma portière droite. Je tourne mon regard dans cette direction et vois une femme penchée me faire signe d’abaisser ma vitre. Je m’exécute, pensant qu’elle allait me demander son chemin. — Vous allez vers la route de Bordeaux ? Me dit-elle.— En gros, oui !— Pouvez-vous m’y déposer ?— Euh ! J’ai un rendez-vous dans une heure, mais bon, il ne sera pas dit que j’aurai refusé de rendre service à une dame ! Montez ! Le tout sur un ton badin, à mille lieues de toute intention dragueuse. Il faut dire que ladite dame ne donnait aucun signe laissant deviner des intentions professionnelles ou un tant soit peu provocatrices. Beauté moyenne, vêtements discrets, une légère gêne pour m’aborder… Nous redémarrons en direction de la route de Bordeaux, pour tout dire à l’opposé du lieu de mon rendez-vous. Passent quelques minutes durant lesquelles nous n’échangeons pas une parole, absorbé que j’étais à l’idée de devoir faire demi-tour plus tard pour respecter mes engagements tout en faisant l’impasse sur le lavage de la voiture. — Quel est votre prénom ? Me demanda-t-elle.— Frédéric, répondis-je sans lui demander le sien. Passent quelques secondes. Ma passagère se met à pouffer à côté de moi. Je n’y prête pas vraiment attention. Elle pouffe à nouveau plus fort, et je me demande alors fugacement si je n’ai pas embarqué une fille un peu dérangée.— J’ai fait un rêve cette nuit ! Dit-elle.— Tiens donc ! Fis-je, peu intéressé.— J’ai rêvé que j’allais rencontrer un Frédéric !— C’est chose faite ...