Avec mon neveu - Histoires de Sexe

Avec mon neveu

Suite du texto du11-05 /20h. D. à  N.
   Sa langue a tourbillonnee sur mon clitoris et sur les lèvres de m'a chat te me faisant pousser des gémissements de plaisir. A ce moment il m'a semblé que j'allais m'evanouir. J'ai pris ses cheveux et me suis arcboutee. J'ai fermé les yeux et j'ai poussé un cri en jouissant sur ses lèvres avant de retomber sur le lit.
  Après un instant de repis, je l'ai déshabillé et je lui Redu ses baisers sur son corps musclé et chaud. Je me suis penchée sur son bel engin, dur et droit. J'ai joué avec lui. J'y ai déposé quelques bisous. Ma langue courrait sur son gland rougi par le désir. Il soumis ait d'aise. Puis nous nous sommes embrassés fougueusement et il est monté sur moi. Malgré sa grande taille, je l'attendaisavec impatience. Son sexe s'introduit lentement me donnant des contractions de plaisir. Je sentais mon vagin vivre. J'étais perdue, les yeux accrochés au plafond, mes mains lui griffaient le dos. Ses coups de reins lents et rythmés m'm'menaient au  ciel. Il s 'enfonce en moi de plus en plus loin et à chaque coup je gemissais avec un plaisir tout à fait nouveau. Il ne s'arrêtait pas et me dit en haletant:" Ton sexe est un puits de jouissanse. Je ne me laisserai jamais de t'aimer de la manière que tu veux.
  Je ralais de plaisir et perçu cet énorme partage. Je recevais du plaisir et j'en donnais autant. A son accélération j'ai su qu'il allait jouir, alors je me suis lâchée. J'ai croisé mes jambes sur son dos comme pur l'inviter à ...

... m'arroser de  Sa semence . Il a craché son feu en même temps que ma fulgurante jouissance. Dès larmes ont coulé de mes yeux et il s'effoudra à mes côtés. Nous avons sué , nos respirations battaient la mesure d'un plaisir partagé. Il m'a prise dans ses bras et nous nous sommes asoupis un bon moment avant qu'il me ramène chez ma soeur. 
  Je crois qu'il y a une cousine que je n'ai pas encore vue. Ce sera certainement pour demain, après le notaire. A bientôt mon amour . Je t'aime.

Texto du 12-05 /9h30 N. à D. 
Très chère épouse, après cet épisode de la visite de ta ville natale, je te chéris encore plus. Ton rayonnement m'atteint et je sens euphorique. C'est vrai, quand nous allons faire les courses, les marchands que nous connaissons te regardent. Il me semble qu'ils sont enchantés quand tu leur souris, leurs visages s'illuminent par ta grâce. Il y a même qui te servent royalement et tu n'hesites pas à ta main sur leurs bras nus et en retour, ils posent leurs main sur une épaule, se penchent sur toi et vous échangez des gentillesse. Moi, j'apprécie et je leur souris à mon tour, pour montrer m'a complaisance. Je ne t'ai pas dit qu'à ces moments, un étrange bonheur m'envahissant, j'etais fier d'être ton mari. Quelques fois je sentais mon ventre se nouer et j'avais  Comme un début d 'érection. J'ai même fantasmé sur ces rapports avec ces marchands. J'ai rêvé que tu as  sauté le pas avec Ilies. Da ne mon rêve Ilies avait une superbe vite qui te com lait dans tous les sens du ...