1. En vacances


    Datte: 19/07/2020, Catégories: Première fois Vos histoires

    Il faisait une chaleur dès le matin et la chambre de mon cousin était en mansarde. Comme je me lève tôt, j'ai décidé d'aller le réveiller pour aller à la pêche. Je monte les escaliers et quand j'arrive sur le palier de sa chambre je m'aperçois que la porte est entrouverte. Avant de frapper je mate par l'ouverture et je vois mon cousin Sébastien à moitié recouvert de son drap. Il est complètement imberbe seul quelques poils éparses sur le pubis. Sa petite queue est posée sur sa cuisse, très mignonne. Je le mate longuement avant de pénétrer dans la pièce. Malgré quelques craquements du plancher Sébastien continue à dormir. Je m'approche lentement et m'assois sur le bord de son lit, et caresse son torse, il continue à dormir. Je promène le bout de mes doigts sur sa peau, tourne autour de ses petits mamelons puis descend sur son bas ventre. J'arrive à la limite de son sexe et avec infiniment de précautions je tâte son petit appendice, qui peu à peu se redresse. Je tripote ses boules et revient à la tige qui devient de plus en plus raide. Entre le pouce et l'index je pince légèrement pour le décalotter. Le prépuce glisse bien et je finis de le décalotter. Sébastien dort toujours ! Maintenant sa petite teub est tendue, je me mets à genoux sur le parquet et me penche pour gober cet objet du désir. Je plonge ma bouche et commence ...
    ... par une douce succion. Sébastien à ce moment là doit être réveillé car il a posé sa main sur ma tignasse, il a l'air d'apprécier. Je continue et joue avec mes lèvres et ma langue. Le plat de ma langue râpe le filet fin de son frein que je déguste comme une friandise. Son bassin ondule et sans bouger son sexe entre et ressort de ma bouche pleine de salive. L'autre main caresse ses testicules. Sébastien est pris de frénésie et les ondulations de son bassin deviennent de plus en plus rapides. Tout à coup son corps se tend au maximum et je reçois un flot de sperme dans mon palais, j'avale chaque saccades de sperme qui jaillissent, je me délecte. Il retient ses cris salvateurs pour ne pas alerter toute la maisonnée mais il ne peut s'empêcher de lâcher quelques gémissements de plaisir. Une fois vidé il devient fixe et c'est moi qui reprend lentement ma succion. "Que c'est bon, et inattendu de ta part" me dit-il.
    Je me mets debout, baisse mon boxer-short, sors ma queue tendue et pose mon gland sur ses lèvres. Il engouffre mon sexe dans sa bouche et me suce comme un malade. Je ne tarde pas à cracher tout mon jus dans sa bouche, qu'il boit avec appétit.
    C'était notre première mais souvent, dès que l'on pouvait s'éloigner dans la maison ou dans la campagne c'était pour se sucer. N Au bout d'une semaine nous sommes passés à la sodo. 
«1»