Ça a marché ! - Histoires de Sexe

Ça a marché !

... m’éclabousse le torse. Il ne doit plus être bien loin maintenant.. à droite ? à gauche ? juste derrière ? Une vague un peu forte arrive, je vais pouvoir me retourner… Et oui, il est tout prêt. Deux mètres derrière, pas plus. La vague m’attrape et je me laisse pousser vers lui. Je lui fais un petit sourire. — Pas chaude la flotte aujourd’hui. C’est peu de chose, c’est bébête, mais ça suffit en général pour lancer la conversation. — C’est sûr, c’est un peu tôt dans la saison.— Oui, d’ici 15 jours… Je reste à côté de lui, nous nous rafraîchissons quelques minutes. — Je sors.— Moi aussi, fait vraiment pas chaud. Nous revenons vers nos affaires. Il est temps de passer carrément à l’attaque : — Vous êtes seul ?— Oui…— Je peux me poser à côté de vous, c’est un peu con de rester seul, on pourra discuter ?— Oui, si vous voulez. Maintenant c’est dans le sac, j’en suis sûre ! Nous nous installons. Il est pas vilain le gars, pas grand, ma taille je pense, brun, musclé et j’ai pu voir que son slip semblait plutôt bien rempli. Priez pour moi, les filles, pour que ce soit un bon coup. On discute. Il est en vacance dans un mobil home d’un camping pas loin. Il est célibataire, il s’appelle Mathieu, il a de beaux yeux, il est timide et il me reluque en douce en croyant que je ne m’en rends pas compte. Je fais la nunuche, je ricane bêtement, il faut bien lui donner l’impression que c’est lui l’Homme ! — J’ai soif, vous n’avez rien ? J’ai oublié ma bouteille de flotte. (Et en plus c’est la ...

... vérité !)— Non, j’ai rien ici, je ne comptais pas rester longtemps. Mais si vous voulez, on peut aller à mon mobil home, c’est à cinq minutes. Tiens, il ne perd pas le nord, peut-être pas aussi timide que ça… — Je veux bien mais je ne veux pas vous déranger.— Non, non. Je vous ai dis que je ne pensais pas rester longtemps. Cela fait trois jours que je suis arrivé et d’habitude, les premiers jours, je ne reste pas longtemps au soleil.— Bon, dans ce cas d’accord. Je me lève et tout tranquillement, je fais glisser mon petit maillot. Puis, sans me presser, je cherche mon slip et le mets en restant bien face à lui. Il a aimé, c’est sûr ! Dans moins d’une heure j’aurai sa queue entre les cuisses !! — Vous voulez qu’on reste sur la terrasse ou qu’on rentre ?— À l’intérieur, il doit faire plus frais, non ? (le petit hypocrite…) En effet, si l’eau est juste, le soleil, lui, tape bien. Il fait tout de même chaud à l’intérieur et je le lui dis en sirotant la bière qu’il m’a donnée. — C’est vrai. Je sais pas si j’ose, mais je t’ai déjà vue sur la plage (et oui, on se tutoie). Si tu as trop chaud, tu peux bien enlever ta robe !— Oh toi alors… Moi, ça ne me gène pas. Je ricane et continue à jouer les nunuches. Je me redresse et retire ma robe. — Reste en slip toi aussi. Il retire son pantalon et sa chemisette. Il me regarde à la dérobé, va-t-il me mettre la main au panier ou devrai-je encore faire un pas ? Non, c’est lui qui y va… — C’est marrant, t’as pas du tout de seins !— Tu n’aimes pas ?— ...