La maman dévergondée, 6° partie
Datte: 30/11/2017,
Catégories:
Inceste / Tabou
Partouze / Groupe
BDSM / Fétichisme
Dans l’épisode précédent, Maman m’a demandé de lui trouver quelques garçons afin d’abuser d’elle sexuellement, pour la punir de trop me désirer. Je lui ai trouvé trois gars prénommés Markus John et Pedro, ainsi qu’une fille, Adrienne.Attention, ce texte est d’une rare v******e : âmes sensibles, lisez plutôt des histoires de bisounours câlins et bien propres sur eux. Vous voilà prévenus. D’ailleurs, il est possible que ce texte soit censuré.Ce quatuor-là, on le voit toujours réuni, et il est spécialisé dans les conneries de tous genre. Dans ce domaine, Adrienne est leur muse, leur tête pensante, leur âme damnée. À l’occasion, elle n’hésite pas à se masturber en public, juste pour prouver qu’elle est à la fois la plus belle, la plus chaude et la plus effrontée de toutes les filles du lycée. Elle garde son crâne rasé avec soin, et raconte à tout le monde que sa grand-mère a subi également la boule à zéro à la libération, pour avoir baisé avec des Allemands ; alors pourquoi pas elle. D’ailleurs, son pote Markus est Allemand, mais elle ne baisait pas avec lui, parce qu’elle était lesbienne. Mais tous les mecs rêvaient de la mettre quand même dans leur lit. Elle avait le regard qui foudroie net.Elle était vêtue de longues bottes de cuir fin et noir qui montaient jusqu’en haut des cuisses et sanglées à leur sommet de lourdes boucles d’acier chromé impeccablement astiquées, d’une robe de même couleur et de même matière, moulante et très courte, et de gants également teintés de nuit ...
... ; tout cela lui donnait l’élégance d’une maîtresse femme, malgré sa jeunesse. Les trois gars de sa bande lui obéissaient au doigt et à l’œil. Car, s’ils ne pouvaient pas la toucher, elle organisait des parties fines et leur trouvait quantité de filles à baiser, les plus mignonnes et les moins farouches qui soient.Quand je lui ai dit que non seulement je lui laisserais éventuellement l’occasion de tripoter ma mère, mais qu’en plus, elle aurait le droit de lui infliger des sévices, elle m’a demandé ce que je voulais en échange. Je lui juste dit : baiser, parce que ses petits seins arrogants et son petit cul que je devinais bien ferme me rendaient fou. Elle n’a pas voulu, elle ne voulait aucune bite dans ses cavités intimes ; on a marchandé. Finalement, nous sommes tombés d’accord pour qu’elle me fasse une fellation, mais à condition que ce soit discrètement, parce qu’elle ne voulait pas qu’on sache qu’elle pouvait accepter de faire ça à un mec, et que c’était bien parce que je suis son demi-frère (elle a insisté sur le demi), et que ma mère avait intérêt à être docile.Pour sûr, Maman était docile. Je craignais même qu’elle le soit trop et que les choses aillent trop loin, qu’elle soit blessée. Il y avait un geste de sécurité : une clé qu’elle tenait dans sa main, et qu’elle pouvait lâcher à tout moment pour arrêter l’action en cours.Pendant les trois jours qu’ils ont eus pour se préparer, les quatre complices ont construit ensemble l’instrument sur lequel ils se proposaient de ...