Quand la chair s'éveille (7)
Datte: 30/11/2017,
Catégories:
Inceste / Tabou
... prends. – Je ne l’ai jamais entendu se plaindre. – Vous n’allez pas utiliser deux paires de drap, Éléonora et Ramon, vous allez coucher ensemble, mais je pense qu’avec ma femme, on aimerait bien y assister. – Qu’en penses-tu Éléonora ? Tu te sens prête à assumer le spectacle pour nos ancêtres. – Je ne saurai rien refuser à mon père, si cela peut lui faire plaisir. C’est ainsi qu’ils se retrouvèrent les quatre dans la chambre d’Éléonora que Ramon honora plusieurs fois dans la soirée, mais chose étonnante, le vieux marquis, voyant ce couple plus jeune en train de batifoler, ressenti, pour la première fois depuis longtemps une émotion visible au niveau du bas ventre. Il était terriblement partagé, d’une part, il aurait bien aimé bénéficier des faveurs d’Éléonora, mais avait peur de ne pas tenir la comparaison, sa femme, qui bien qu’émoustillée, il sentait bien que ce n’était pas à cause de lui et qu’elle aussi aurait bien aimé sentir un souffle de fraîcheur, un dernier donné par son petit fils. C’est alors que prenant son courage à deux mains, celle-ci demande : hdnhaaew – Ramon, s’il te reste des forces pour ta pauvre grand-mère, c’est avec plaisir que je t’accueillerai. Cela me changera d’avec ton grand-père qui ne peut plus beaucoup. – Somme tout grand-mère, tu nous demandes de changer de partenaires ? Je vois qu’un miracle s’est produit chez grand-père et de ce que j’en sais, maman a peut-être envie de retrouver ses souvenirs de jeunesse. – Pourquoi pas, répond Éléonora qui ...
... se désengage du sexe de Ramon, Père si tu t’en sens les forces ! Mais ne compte pas sur moi pour déguster ta nouille, j’aime trop celle de Ramon pour prendre du deuxième choix. À ce moment-là, Ramon se sentant libre commence à déshabiller sa grand-mère et là, c’est un peu le calvaire avec toutes ses fanfreluches et autres pièces de tissus. Quand enfin elle est nue comme au premier jour, il ne peut s’empêcher de l’admirer. – Grand-mère, tu es encore bien appétissante pour ton âge, pas de kilo superflu, ton minet est d’un beau blond cendré. Tes seins, bien que piquants du nez, ont pas mal d’attraits, surtout les gros bouts qui appellent ma bouche pour les sucer. – Je t’en prie mon petit-fils, fais-toi plaisir, je suis toute à ta disposition. – Tourne-toi que je puisse voir le côté pile. Sans discuter, grand-mère se met sur le ventre, les fesses à l’air et là, Ramon s’approche de ses deux monticules, un peu ridées, (il ne faut pas rigoler tout de même) et surtout, il voit le même motif fait par les poils du cul que sa mère, courts et bien noirs sortant de la fin de la raie rectale. Doucement, son doigt inquisiteur, (normal, on est en Espagne, patrie de l’Inquisition), qui monte ou plutôt descend de plus en plus profondément, jusqu’à atteindre la plaine de Sodome. Là, Grand-mère lui fait remarquer que cette partie de son organisme est encore vierge, grand-père, ayant peur de l’anathème. Elle n’est pas sûre de pouvoir supporter un enculage en bonne et due forme. – Bien Grand-mère, ...