1. 'Chloé/Elina rencontre des joueurs en ligne (2)


    Datte: 30/11/2017, Catégories: Dans la zone rouge,

    ... d’ordinaire, j’étais humiliée, sale, à terre, insultée, moquée, maltraitée, moins considérée qu’un animal, qu’un objet. Mais à ma peur, se mêlait de l’excitation, une envie de sexe, de bites, d’être prise par tous mes orifices, de n’être rien ni personne. Plus j’étais baisée plus j’avais envie de plus de bites et ce sentiment me troublait au plus haut point. Mes sens étaient exacerbés. Ma bouche était grande ouverte à la recherche d’une queue, mon sexe béant attendait en vibrant un sexe à enfiler et ma rondelle s’ouvrait et se refermait telle un organe qui respire, elle aussi en attente de se sentir complètement comblée par le manche d’un des Maîtres. Un autre pris la place du sodomite pendant que l’homme qui m’avait violemment défoncée le cul venait se faire nettoyer le manche qui avait – car il était le premier - un gout acre bien que je me sois soigneusement préparée à cette pratique. Pendant que je me faisais enculer, un homme se glissa sous mon ventre, se positionna sous moi pour entrer dans ma chatte. J’avais enfin une queue dans chaque trou. Je me sentais vivre. J’avais du foutre dans tous les trous, j’en avais sur moi, dans les cheveux, sur le visage, mon maquillage avait coulé, mais je me sentais vivante dans cette folie qui me manquait dans ma vie bien rangée. Plus j’étais humiliée et plus j’étais excitée et plus j’écartais mes orifices et plus j’avais envie d’en recevoir. Il y eut un moment où je n’eus un instant plus de queues dans ma bouche mais je compris ...
    ... vite, aux rires qui fusèrent, qu’il se préparait quelque chose. J’étais toujours prise en double anale et vaginale, quand un cul vint se poser contre mon visage. - Ecarte-moi les fesses avec tes mains, tire la langue et lave-moi le trou du cul espèce de dégénérée de bourgeoise de merde. T’es bonne qu’à ça… A moi et à tous mes potes ! J’ai léché des culs, pas tous propres, des couilles par le dessous cette fois, certaines douces, d’autres poilues, d’autres encore aux poils courts et drus, mais les bites qui me ramonaient et la situation ô combien glauque m’avaient désinhibée. - Tu lèches comme une chienne, hein chiennasse ??? J’acquiesçais. - Alors tu vas te conduire comme une chienne. Fais la chienne. N’oublie rien, fais-le bien, sinon, y a pas de SPA ici… Et j’entendis le bruit du fouet du le sol. Je comprenais ce que cela signifiait. Ils me passèrent une corde autour du cou. J’étais tellement excitée par ce que ces hommes me faisaient, par mon envie d’être ce qu’il voulaient que je fûs , que mes reins se cambraient naturellement. Je me mis à avancer à quatre pattes, je tirais la langue et je jappais tout doucement pour ne pas sembler trop sûre de moi. Je cherchais à travers la pièce, sans me préoccuper des rires et des quolibets de ces hommes sans doute issus des cités, des bites et des couilles à lécher et je montrais ma satisfaction parce que j’étais une bonne chienne. Après que j’eus léché avec application une queue de belle dimension, une main me caressa presque ...