Les découvertes de Christine - Histoires de Sexe

Les découvertes de Christine

... bien ! Tu sais combien j’aime parfois m’exhiber et la situation me semble idéale pour être sous des regards d’inconnu (e) s. — Oui, mais pas sans moi !— Tu veux savoir la suite ? me demande-t-elle, impatiente de poursuivre sa confidence.— Oui, continue ! Tu m’excites.— 20 heures, deux couples se présentent : un vieux (la cinquantaine), un plus jeune (la trentaine). Bises, présentations. Je me sens très pute, mais, pourquoi pas ! On me mate, les regards se font même lascifs, je me sens très indécente. Le couple le plus vieux me plait assez, surtout lui.— Qui, « lui » ?— Je veux dire, le couple. Lui, tout de suite je sais qu’il va se passer quelque chose, c’est un prédateur. Il me plait follement.— Et « elle » ?— Babeth, c’est son petit nom, elle m’a tout de suite fascinée. Auburn, cheveux mi-longs, petite robe noire légère, fines bretelles, épaules découvertes laissant voir sa peau laiteuse. L’air très autoritaire et pervers. Hum !— Alors ?— Tu me sembles intrigué et avoir peur que je te raconte la suite.— Non, non, vas-y ! Et n’hésite pas à entrer dans les détails.— Bon alors, voilà : On se retrouve tous les trois dans un petit boudoir. Babeth se presse contre moi et m’embrasse goulûment, nos langues s’emmêlent. Je sens sa main venir s’enfourner sous ma jupe. Elle me tripote vulgairement. Me fouille au plus intime. Elle me susurre à l’oreille des mots grossiers (pisseuse, salope, putasse, poufiasse…) qui m’excitent et me font honte. Je la touche sous sa petite robe, c’est ...

... tout poisseux, elle se trémousse afin que mes doigts pénètrent plus avant dans sa fente huileuse. Elle va s’allonger sur le lit jambes ouvertes, je dois la lécher, j’hésite. Je commence à laper, les odeurs qui se dégagent sont à la fois dégoûtantes et délicieuses. Ma langue s’affaire, je lui mordille son petit bout dressé et suppurant de miel. Elle râle. Je sens une main qui vient s’immiscer entre mes fesses. Un doigt vient pénétrer mon « petit trou » avec ma culotte. Il s’enfonce de plus en plus profond, tourne, élargit. J’ai envie de jouir, de pisser… — Et alors ? Je ne te connaissais pas ces goûts— Tu es bien impatient, laisse-moi prendre un verre afin que je te raconte la suite. Je dois t’avouer que j’ai découvert deux plaisirs en même temps. J’ai adoré sentir ce doigt pénétrer mon intimité l’anus – tu ne m’as jamais encore rien fait de pareil…— Mais je ne savais pas que tu aimais ça, sinon…— Bon, on verra ça. Quant aux plaisirs que j’ai eu à lécher cette chatte ! Je dois dire que j’ai compris pourquoi les hommes aiment tant cette pratique. Rien à te reprocher de ce point de vue, ta langue est très experte.— Ensuite ?— Ensuite, eh bien il m’a baisée comme un forcené sous les regards et les caresses de Babeth. J’ai joui comme une salope (je sais que tu aimes cette expression). La soirée s’est terminée. Je me suis retrouvée seule avec mon vieux prof. J’étais très fatiguée et encore toute excitée. Au lit, nous nous sommes câlinés, caressés, il m’a demandé que je lui raconte ce ...