Beauté Divine
Datte: 30/11/2017,
Catégories:
h,
fh,
jeunes,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Masturbation
... saisir à deux mains ses seins, sans aucun doute magnifiques, lui mordiller le lobe de l’oreille, inspirer sans retenue dans son cou jusqu’à s’enivrer de son parfum naturel. Johan connaissait bien la damoiselle Eléonore, habitant le même village, il avait pu, à loisir, voir grandir la jeune fille. Plus d’une fois, il avait apprécié la grâce de ses traits, mais jamais, ô grand jamais, il n’avait imaginé que la belle était pourvue d’un tel arrière-train, quel châssis. Oh… ! Sa main avait ralenti mais l’exaltation était toujours aussi intense, le voici imaginant alors les lèvres gourmandes et pudiques de la belle venir s’enrouler autour de son gland. Oh, quelle image !… Oh !… L’ébéniste amplifia le rythme de sa masturbation à en faire vibrer la demeure toute entière, à faire s’écrouler tous les arbres, à faire voler en éclat tous les ornements de ces murs respectables. Il n’y allait pas de main morte le bougre !… Et, emporté par sa fougue, par son imagination, les yeux collés à ce cul, il ne put retenir la succession de grognements d’homme des cavernes qui surgit du fond de sa gorge, des « oh ! » rauques qui disaient l’immense plaisir qui lui brûlait les entrailles. Eléonore se retourna d’un bond. Quelle vision ! Cet homme, ce beau Johan qu’elle avait l’habitude d’observer à la dérobée quand il travaillait, ce corps musclé et bien fait, ce visage fermé, ours qu’il savait être, était là devant elle, la queue à la main, agitée comme l’on fait d’un prunier, impressionnante ...
... bestiole toute rouge, veines saillantes et gonflées. Et ce visage, qu’elle avait toujours vu fermé, exprimait là une grimace des plus épanouies, un sourire béat tel ceux des anges qu’elle avait l’habitude d’admirer au plafond des églises. Il était l’homme emprunt d’un ravissement profond, comme touché par la bonté divine. Cet homme avait-il donc la grâce ? Malgré la gêne de la situation, Johan ne pouvait à ce stade arrêter de se faire du bien, c’était trop bon, il était à quelques empoignades de gicler irrespectueusement sur ce parquet marqueté, comme le jet d’une ligne au lancer de pêche. Sa main avait la bonne mesure. Son sexe était tout violacé de voir, ainsi, le doux minois de la belle, à la fois ahurie, étonnée, décontenancée, dépassée mais tout autant troublée, ses beaux yeux bleus fixés sur son sceptre. Eh…, se disait l’ébéniste, elle n’en a jamais vu des comme ça !… Et elle n’est pas prête d’en voir d’autres… Oh !… Et voici que les seins de la jeune fille se dressaient sous sa chemise, se métamorphosant sous le regard appuyé qu’il ne pouvait détourner. Il voyait bien que ces tétons-là pointaient pour la première fois. Eléonore, elle-même, en fut si surprise qu’elle y mit les mains pour mieux sentir la pointe s’affirmer. Que lui arrivait-il donc ? Et le pauvre diable d’ébéniste qui continuait de s’agiter… C’était bon que la jouissance tarde à arriver, c’en était que plus excitant… Eléonore était là, prostrée, tenant toujours dans ses mains ses seins qui revendiquaient ce ...