Les cousines (3)
Datte: 30/11/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
... son visage vers moi et pose ses lèvres chaudes et humides sur ma bouche. Avec la pointe de sa langue, elle écarte mes dents et vient l’enrouler sur la mienne. Nos langues s’emmêlent, nos salives se mélangent, nos températures montent dangereusement. Je passe alors ma main dans son dos nu et descends du bout des ongles le long de sa colonne vertébrale jusqu’à la naissance de sa raie fessière. Je la sens frissonner de plaisir, elle ne peut pas résister à cette caresse. Elle ronronne déjà de désir anticipé et je décide de pousser encore plus loin mon exploration. Ma main se glisse entre sa peau et le bord de la robe, contourne ses côtes et arrive sur son sein droit. Je sens le téton se dresser instantanément et je le roule entre mes doigts. Je sais qu’elle ne va pas pouvoir résister longtemps et, de fait, elle passe sa main entre nos corps, achève de sortir mon sexe de mon short et se met à le malaxer. Elle se dresse légèrement sur la pointe des pieds, guide le bout de mon gland vers l’entrée de son vagin et se laisse tomber d’un seul coup. Bien enfoncée jusqu’à la garde, elle reste immobile un instant, se délectant de l’envahissement total de son fourreau. Puis, tout en continuant à m’embrasser fougueusement, elle se met à monter et descendre le long de ma hampe. Je réponds à ses mouvements en donnant de grands coups de reins pour qu’elle sente bien ma trique frapper le fond de son sexe. Je lui malaxe un sein directement sur sa peau nue, l’autre à travers le fin voile de son ...
... vêtement. Il ne faut évidemment pas longtemps pour qu’on atteigne le paroxysme du plaisir et nous explosons ensemble dans un magnifique orgasme. Tout ça sur la terrasse extérieure! Je ne pense pas que nous ayons pu être observés en plein ébat car, entretemps, le jour a décliné et la luminosité est faible. De plus, Isa a gardé sa robe sur elle et tout ce qu’un éventuel voyeur aurait pu voir, c’est un couple s’embrassant passionnément ... et agité de quelques soubresauts! Et puis zut, nous sommes amoureux et l’amour n’est pas un crime. Après avoir récupéré un peu, Isa se relève. Je sens mon sexe encore à moitié gonflé se retirer à regret de sa chatte. — - Tu m’as dit ce matin, lorsque je t’ai fait une gâterie sur la plage, que tu me rembourserais au centuple. Je n’ai pas oublié et je n’ai surtout pas l’intention de te faire crédit. Ce n’est donc pas avec un seul orgasme, même s’il était délicieux, que tu as payé ta dette. Donc, on continue! Mais nous allons rentrer car ici on ne voit plus rien et j’adore te regarder pendant que tu me baises. Nous rentrons dans notre chambre et tirons les rideaux pour pouvoir allumer car, comme Isa vient de le dire, nous ne concevons ni l’un ni l’autre de faire l’amour dans le noir. La jouissance du corps de l’autre, ça passe par tous les sens. D’abord le toucher, par les caresses buccales, manuelles et sexuelles, ensuite le goût par le mélanges des liquides corporels, l’ouïe en profitant des gémissements, râles et soupirs du partenaire, l’odorat ...