1. Les cousines (3)


    Datte: 30/11/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    ... arrives encore à me faire découvrir de nouveaux délices." me dit-elle. "- Comme on a parlé ce matin de Nat et de son joli corps, au moment de venir, je t’ai imaginé en train de lui faire la même chose qu’à moi et ça m’a complètement fait flipper." C’est très flatteur pour moi et je range sa réflexion dans un coin de ma tête: elle m’a donc imaginé en train de baiser Nat et ça semble lui avoir fait un effet canon. Ce n’est donc pas elle qui s’y opposerait le cas échéant, bien au contraire. Il est vrai que, lorsque j’ai découvert sa relation saphique avec Maud, dont je profite depuis, j’ai réalisé qu’Isa n’était pas insensible aux charmes des corps féminins. Du coup, je me dis que la relation à trois que nous connaissons avec Maud pourrait peut-être se répéter avec Nat! Encore faut-il que celle-ci y consente. Cette superbe perspective m’excite d’autant plus que, si Isa a déjà joui deux fois ce soir, moi, j’en veux encore et je bande toujours comme un taureau. Il est grand temps que je nous mène à l’apothéose pour ce soir. J’empoigne donc Isa par la taille et la retourne. J’attrape ses hanches à deux mains et lui soulève le postérieur puis j’appuie sur ses épaules pour les plaquer sur le lit. Elle est maintenant à genoux, la tête et les avant-bras posés sur le matelas, la croupe offerte à mon gourdin impatient. Je me mets donc derrière elle et m’introduis tout doucement dans son fourreau dégoulinant de cyprine afin qu’elle ressente chaque millimètre de pénétration de mon membre. ...
    ... Lorsque je suis bien au fond, je m’arrête un instant pour sentir les palpitations de ses muscles intimes sur ma hampe. Elle me masse le sexe par l’intérieur. C’est magique! Je resterais bien comme ça toute la nuit mais j’ai surtout envie de jouir. Je me mets donc debout sur le lit de façon à être bien au-dessus d’elle. Cette position me permet de la prendre en levrette au plus profond de son ventre. Je l’empoigne par les hanches et commence à rentrer et sortir de son vagin de plus en plus violemment. A chaque pénétration, mon gland vient frapper son utérus et mes couilles cognent ses fesses. J’ahane sous l’effort et elle pousse un cri chaque fois que je viens en butée. Je la pistonne comme une bielle de locomotive lancée à pleine vitesse et je sens progressivement les picotements monter dans mes reins. Mon sperme envahit mon urètre et j’explose dans un gigantesque orgasme. J’éjacule des flots de jus dans le ventre de ma femme en beuglant pendant qu’elle pousse un râle de plaisir en dégustant son troisième éblouissement. Epuisé, je m’affale sur le dos d’Isa qui, sous ce poids, glisse elle-même sur le ventre. Je suis toujours enfoncé en elle et mon sexe commence à se relâcher. Je passe les mains sous son corps et caresse avec tendresse ses seins durcis par tant jouissance accumulée. Il faut dire que ce soir, nous avons fait fort! Lorsque nous avons retrouvé nos esprits, nous nous étendons côte à côte sur le dos et nous enlaçons nos doigts dans un geste d’amour. Avant d’éteindre ...
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