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La Somone (1)
Datte: 01/12/2017, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme
... se lève, on se rapproche de l’océan, je sens son odeur si caractéristique. Au détour d’un virage je l’aperçois scintiller à l’horizon. Au loin apparait une masse plus sombre, un ensemble de maisons. Nous y voilà. Greg descend avant même que j’ai éteint le moteur. Il semble chercher quelque chose et engage finalement la conversation avec un homme qui doit être le gardien de la maison voisine. Elle s’est glissée devant en passant au dessus du levier de vitesses, me permettant d’apercevoir un bout de dentelle noire, certainement un tanga. Elle s’assoit sur le siège passager, sa robe reste relevée haut sur ses cuisses bronzées. Elle surprend mon regard et arque son sourcil parfait. - "Il y a un problème m’annonce t elle enfin. - Comment ça un problème ? Ils discutent en Wolof, je ne comprends rien. Elle pose son index sur ses lèvres. Je me tais. Elle traduit au fur et à mesure : — Le gardien de la maison n’est pas là, il est parti au village. Sa femme vient d’accoucher. Greg n’a pas les clefs. Elle soupire en penchant à peine la tête. Ses épaules s’affaissent. Il vient à notre hauteur et m’expose la situation. Il a perdu en peu de sa superbe : — Hors de question de rentrer. On saute le mur et on dort sur la terrasse ! Charlie ? — Ok. De toute manière on a pas vraiment le choix, on est tous crevés." Greg escalade le mur avec aisance, ce mec est vraiment athlétique. Je fais la courte échelle à Charlotte, ce qui me permet de me rincer l’œil à loisir. La perspective est ...
... parfaite. J’avais vu juste, elle porte bien un tanga. Il lui rentre joliment entre les fesses et cache à peine son intimité. hgrhkkye A mon tour. Je suis un peu gêné par mon érection naissante mais la deuxième tentative est la bonne. La maison est gigantesque, le jardin donne directement sur une mince plage de sable fin. Il y a même un ponton. On emprunte un petit escalier sur le côté qui permet d’accéder à ladite terrasse. Bonne surprise les matelas du mobilier de jardin y sont entreposés. On les installe tous au sol. On a l’équivalent d’un grand lit deux places bien moelleux. Charlotte et moi fumons une dernière clope accoudés à la rambarde. Aucun de nous ne brise le silence. J’observe son profil à la dérobée, son menton volontaire, son nez fin et ses longs cils. Elle scrute l’horizon où de faibles halos de lumière tanguent. Certainement des pêcheurs de poulpe. Elle semble absorbée par l’océan et ses remous. Il l’enlace par derrière, lui mordille la nuque : — "On va dormir un peu ?" Elle le suit. Je les suis. On s’installe sur les matelas. C’est horriblement mou. Je sens que je vais avoir un putain de mal de dos demain matin. Elle se place au milieu et se love dans ses bras. Je lui tourne le dos aussi. Elle bouge un peu, ses fesses frôlent les miennes. Je suis tellement fatigué. Je sombre, bercé par le rythme des vagues s’écrasant sur le sable. Un cri. Je me réveille en sursaut. Un cri a déchiré ma nuit. Je m’assieds difficilement. Je suis seul. J’ai rêvé ? Un autre, plus long. ...