COLLECTION CANDAULISME. La maison du Bonheur (3/4)
Datte: 02/07/2017,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... maison, mieux ce manoir centenaire, doit rendre son secret, je m’en fais fort. Chaque fois que Jennifer me quitte et étant présent plusieurs minutes après, le même bruit attire mon attention, ce soir, je vais mettre mon plan à exécution. Je suis marron, Jennifer ne vient pas, le lendemain, elle va à la boulangerie, je l’accompagne et je rencontre les successeurs de mes parents, mais surtout, je retrouve le four de grand-papa. • Tu m’excuses pour hier, j’allais partir te rejoindre quand il a gratté à ma porte, je savais que la lumière passant sous la porte m’empêchait de lui faire croire que je dormais, alors j’ai ouvert, je ne t’en dirais pas plus. Après, il était trop tard pour te déranger. En y réfléchissant bien, aucun bruit dans la soirée, dans la nuit provenant des murs. Encore une nuit et je les quitte partant pour Dijon, hier, il semble qu’il en ait pris pour huit jours comme elle me l’a dit l'autre jour, il est 17 heures quand je la croise en revenant en taxi de Lyon où le responsable des travaux m’a appelé et que j’ai rencontré les minoteries. • J’avais peur que tu ne reviennes pas avant Louis, viens dans mon boudoir, tu pars demain, j’ai envie une dernière fois. À part le papier peint qui est différent, même tableau représentant les ancêtres du notaire depuis la révolution et la construction du manoir. Seule la machine à écrire est remplacée par un ordinateur, même le canapé est là placé au même endroit. Jennifer remplace la maman de Louis et sachant que c’est la ...
... dernière, elle se donne à deux cents pourcents. Dès qu’elle a joui et que je lui ai rempli la chatte de mon sperme, nous nous séparons, j’ai juste descendu mon Tergal de peur que le mari ne rentre et ne vient la voir. Ce que je crains, c’est ce que ma théorie soit fausse, vu que nous sommes au rez-de-chaussée et que toutes les fois, c’est en haut que j’entendais les bruits. Un dernier baiser et je file jusqu’au bureau de Louis, j’ouvre, la porte ouverte me montre que comme elle me l’a, dit-il est absent, j’allais pour ressortir quand le bruit de raclement se fait entendre. Une petite bibliothèque pivote et je vois Louis sortir, de la poussière dans les cheveux et sur ses vêtements. • Adrien, tu es là, j’étais dans ma réserve chercher un document, il serait temps que je fasse le ménage dont je t’ai parlé. • Pousse-toi de là, arrête de me prendre pour un con, qui a-t-il derrière cette bibliothèque ? Je l’écarte et passe la tête, un trou noir, mais l’éclairage de la pièce me montre un mur en face laissant un passage entre les deux côtés. • C’est un tunnel, ou va-t-il et comment voit-on à l’intérieur. Il s’écroule sur son bureau la tête dans les mains et se met à pleurer, je le saisis par le bras et je le secoue. • Parle où je te le casse. • Ne me fais pas de mal, je vais tout te dire. • Tu as intérêt, il me semble que tout ce qui se passe ici, est louche, explique-toi. • La maison d’abord, elle a été construite par mes ancêtres au moment de la terreur, mon aïeul l’a construite ...