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Ces 2 jours qui ont changé ma vie (1)
Datte: 02/12/2017, Catégories: Divers,
... et commencer à la relever que je sortis de mes gonds. Je me retournais et lui faisant face: — Écoute-moipetite pute ! Que tu te tapes mon mari, de surcroît sous mon toit et devant mes yeux passe encore, mais je ne suis pas ton jouet. Je ne suis pas une gouine. Son regard croisa alors le mien. — Calme-toi... — Non, je ne me calmerai pas. Je la repoussais violemment. — Dégage ! Elle se cogna alors la tête à la hotte en se retournant et poussa un cri. Alain accourut immédiatement. — Ça va ? Qu’est-ce qui se passe ici ? Alors Brigitte, même pas blessée lui lança tout en me regardant: — C’est elle, elle m’a frappé... Alain l’entraîna dans le salon en me lançant: — Dégage dans la chambre d’amis ! Je vais m’occuper de toi. Je balbutiais... — Tout de suite ! Je traversais alors la maison pour regagner la chambre. Les quelques minutes avant qu’Alain arrive me semblèrent durer une éternité, je savais à cet instant que j’allais prendre une raclée. Ca allait sûrement exciter Brigitte, que je voyais jubiler lorsque je suis passé devant elle tout à l’heure. Alain apparut alors dans la chambre, m’ordonna de lui enlever son ceinturon. J’obtempérai, lui tendis, tout en le suppliant. — Ferme la porte ! — Non, s’il te plaît. — Ta gueule ! La raclée que je reçus alors devait résonner dans toute la maison, tant je pleurais. Mes fesses, mes cuisses devaient être rouges, même si Alain m’assenait les coups de ceinturon sans m’avoir déshabillée... Quelques minutes plus tard, alors que j’étais en ...
... boule sur le lit, Alain ouvrit la porte de la chambre. Je ne bougeai pas. Il appela alors Brigitte, qui apparût dans l’échancrure de la porte. — Maintenant, tu peux vérifier. Cette dernière s’approcha du lit et me lança: — Lève-toi ! Je regardai alors Alain et dans son regard, je compris qu’il valait mieux que j’obéisse... Je me levai donc, et cette garce m’ordonna de relever ma jupe, ce que je fis. — Tourne-toi ! C’est dans un langage que je ne lui connaissais pas qu’elle s’adressa à Alain: — Putain ce cul ! Elle me ferait presque mouiller ta salope. Alain certainement amusé par la situation lui répondit: — Tu voulais pas vérifier un truc ? — Bien sûr. Cette dernière se mit à me regarder sous toutes les coutures. — Hé bien mon cher, tu n’y es pas allé de main morte avec la ceinture. Puis elle me fixa dans les yeux: — Écarte les cuisses ! J’étais là, honteuse, la jupe relevée, les yeux baissés. Je remarquai alors que ses mamelons pointaient sous son chemisier. Un sentiment de honte, certes, mais aussi d’excitation m’envahit. Elle passa ses mains sur mes fesses, ce qui me fit frémir, puis glissa sa main entre mes cuisses. — Putain, mais elle est trempée cette salope ! Elle me demanda de retirer ma culotte et de lui donner. Ce que je fis sans sourciller. Elle me la présenta alors au visage, qu’elle frotta et m’ordonna de sucer le plug. Ma petite culotte dans la bouche, elle me pencha au-dessus du lit, écarta vigoureusement mes fesses et s’adressa à Alain: — Tu sais ce dont j’ai ...