1. Mon émoi


    Datte: 02/12/2017, Catégories: fh, hplusag, jeunes, cinéma, école, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation intermast, Oral pénétratio, init, amourpass,

    ... traverse, lentement, marche posément, sourire aux lèvres. Se penche vers moi, me fait une bise appuyée. — Salut, Belle. Je respire. Je lui serre la main, brièvement, la caresse discrètement. Il comprend que nous ne devons pas paraître plus que des amis, je le vois dans son regard. — Viens, suis-moi. On va… discuter tranquille. Je rentre à nouveau dans le bâtiment de l’Université, il me suit, sans rien dire, toujours souriant, les yeux brillants. Oh, ces yeux, ces yeux… ils me brûlent à l’intérieur ! Je le guide à travers les couloirs. — Là-haut…viens ! Le grand escalier, un étage, deux étages, le troisième. Il n’y a personne ici, je le sais, l’aile est prévue pour des travaux en fin de trimestre, les salles ont été vidées, ça sent l’humidité, le renfermé. La solitude. Je chuchote : — Viens. J’essaye les portes une à une. La troisième s’ouvre. C’est un grand cagibi, il y a des balais, des seaux, de la poussière, un vieux bureau aux tiroirs cassés. Je le fais entrer, le suis, ferme la porte Le silence. Je le regarde dans les yeux. Le pousse contre la porte. Il me dévore du regard. Je me mets sur la pointe des pieds. Il se penche – je suis si petite ! Nos bouches se trouvent, ma langue se mêle à la sienne, sa salive humecte mes lèvres, nos dents s’entrechoquent dans la vigueur du baiser, ma jupe est relevée, je n’ai même pas senti ses mains sur le tissu, il me touche, me caresse, nous gémissons tous les deux dans la force de notre étreinte. Nos lèvres se séparent, je le ...
    ... serre dans mes bras, j’en pleurerais de bonheur. Il m’embrasse le cou en chuchotant : — Merci. Ses mains empaument mes fesses nues, remontent, ses bras se croisent le long de mon dos, il me prend le visage, me regarde, je me noie dans ses yeux, il m’embrasse à nouveau, le visage, le cou. Ses mains trouvent mes seins, je me cambre, il déboutonne mon petit haut, ses mains disparaissent sous le tissu, je frissonne lorsqu’elles entrent en contact avec mes mamelons, lorsqu’il presse mes tétons qui durcissent entre ses doigts. J’entends des pas lointains dans l’escalier. Nous nous figeons, oreilles aux aguets. Ma main descend en silence le long de sa chemise, entre dans son pantalon, trouve son sexe dressé, à l’étroit dans son slip. Les pas se rapprochent. Je le masturbe en silence. Je n’ai pas peur d’être découverte. Je suis avec LUI. Le bruit de pas cesse. Ma main va-et-vient sur sa bite. Il ferme les yeux. Ses doigts me pincent les tétons, je me force à ne pas gémir, mais je souris en le regardant. — Apparemment, il ne venait pas par ici, dis-je en murmurant. Viens. Il ouvre les yeux. Je me recule, jusqu’au bureau poussiéreux. J’enlève mon haut – ses yeux fixent mes seins comprimés par le soutif, je me sens belle – et le pose sur le rebord. Je m’assieds dessus et expose ma chatte trempée à son regard, sans honte. Il n’y a plus que mes bas « abeille sexuelle », ma jupette autour de ma taille et mon soutif qui m’habillent. Je suis sexy, je le sais, une tarentule, une petite vampire ...
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