Enfin elle a cédé (3)
Datte: 03/12/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
Depuis la séance éprouvante du fist, la vie avait repris un rythme plus tranquille. Martine était devenue assez docile à mes caprices, elle se laissait lier les poignets, fesser et prendre comme je le voulais et, bien sûr, elle y prenait aussi du plaisir. Je n’avais pas renouvelé cette dilatation extrême et me contentais, entre autres, de la doigter jusqu’à quatre doigts ce qui la mettait déjà assez en transe. Nous ne parlions jamais de la séance avec les deux hommes ni du traitement que j’avais permis qu’elle subisse, mais tout cela restait présent en arrière-plan chez elle, j’en étais sûr. Après une année de dur labeur, nous avions décidé de prendre quelques jours de vacances et sommes partis au Sénégal, dans un club au soleil. Depuis quelques jours nous étions aux anges, soleil, mer chaude, farniente et, bien sûr nous faisions l’amour plusieurs fois par jour et de toutes les façons possibles tant elle était docile. La plage privée permettait le bronzage seins nus et je ressentais une certaine fierté de voir les hommes regarder avec envie la poitrine orgueilleuse de mon épouse, et j’avais l’impression qu’attirer les regards ne lui déplaisait pas non plus. D’ailleurs le garçon de plage, un beau et jeune sénégalais avait toujours quelque chose à nous dire et je voyais bien que ce qui attirait ses regards c’étaient les deux globes laiteux et fermes des gros seins en poires qui avaient pris une belle teinte ambrée sous le soleil. Nous avions fini par entamer des conversations ...
... avec lui et il nous parlait de son pays et de la jeunesse dorée sénégalaise qui vivait sur cette petite côte ou elle profitait de la manne touristique. Il en était arrivé à nous expliquer que si on voulait sortir du club, il y avait, pas loin, une boîte de nuit très sympa et bien plus couleur locale car fréquentée aussi par beaucoup de jeunes sénégalais, en général employés dans les clubs de vacances alentour. Devant sa gentille insistance, nous décidions, un soir, d’aller y faire un tour, la boîte n’étant qu’à une quinzaine de minutes de notre club. Après un dîner assez arrosé, nous nous sommes mis en route par un chemin en bord de mer sous une température agréable. Pour l’occasion, Martine s’était vêtue d’une chemise liée sur le ventre qui laissait deviner ses seins qui bougeaient librement sous le fin tissu, d’une jupe paréo fendue très haut, assez serrée pour qu’on voie sans peine son superbe cul ferme et haut qui tendait le tissu et de sandales en cuir, elle était magnifique et très désirable. La boîte était bien au bout de la promenade, bel établissement. Intérieur classique, assez sombre et un mélange de musique qui sentait bon les rythmes africains ; on nous avait vite installés à une table un peu en retrait, quelques couples blancs et mixtes et pas mal d’Africains. Après deux ou trois danses sur la piste, très fréquentée, nous sirotions quelques verres tout en observant cette faune ; je remarquais quelques femmes sénégalaises sculpturales et très grandes, de toute ...