1. Quand la chair s'éveille (6)


    Datte: 03/12/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    Les deux ont juste eu le temps d’avoir une tenue présentable et constate avec stupéfaction qu’il est bientôt 10h. Le déjeuner est vraiment pris sur le pouce quand le téléphone sonne, demandant Madame la Baronne. – Il semble que ce soit correct si la réception t’a appelé, mais je t’accompagne quand même. Au salon B, Delpatio les attendait avec une pile de papier et l’air très sérieux. – Voilà le contrat en deux exemplaires, que je vous prie de lire avant de signer. Ramon se tient en peu en retrait, surveillant bien comment cela se passe. Éléonora, en lisant les deux contrats ne remarque rien de négatif et appose sa signature au bas du document. – Je le lirai en détail à la maison, dit Ramon, pour le moment, j’ai d’autres chats à fouetter. – Il prend bien sa tâche au sérieux, il me semble encore mieux que Jean. – Normal, puisqu’à terme, c’est lui qui va me seconder, voire me remplacer. À la sortie de la rencontre, Ramon insiste : – On part tout de suite, tu vois avec la réception pour régler la note et amener l’Hispano – Pourquoi tant de hâte ! – Je ne sais pas, mais je ne sens pas très bien Marseille et plus vite on sera loin, moins on prend de risque. – Tu ne fais pas un peu trop dans la parano ? – Les dernières actions de Delpatio, ses manières de mafia me semblent tout à fait dans le style de nous faire prendre des risques inutiles. – Tu as peut-être raison et finalement, nous n’avons rien à faire de particulier à Marseille. C’est ainsi qu’ils se retrouvèrent au château ...
    ... où les attendait deux nouvelles inattendues. Jean décidait de rester au Japon jusqu’à une date indéterminée. Raison, il est sous le charme d’une geisha et ne désire pas le rompre. Dans la deuxième nouvelle, de sa mère, elle lui apprend que son père va très mal et désirerait connaître son petit fils. Ramon, d’un esprit positif remarque : – D’un côté, ce sont de tristes nouvelles, mais d’un autre, ce sont de bonnes nouvelles, je vais enfin voir mon grand-père et le problème qu’aurait posé le retour de Jean ne se pose plus. On part Voyage en Espagne Éléonora demanda cependant 3 jours pour partir, car selon contrat, l’Hispano allait pour révision au garage et ensuite il fallait convoquer ses directeurs pour se tenir au courant des derniers événements. Pendant trois jours, Ramon fût présenté aux différents directeurs et familiarisé avec les affaires familiales, l’Hispano était de retour, rien à signaler, si ce n’était un petit espion sous la carrosserie. – Donnez-la-moi ou placez-la sur une cible en mouvement, par exemple un wagon international pour faire courir un peu les curieux, si possible en direction de la Turquie. – Bien, il en sera fait comme vous le désirez. Le voyage s’annonce sous d’excellents auspices, descente vers le sud de l’Espagne en passant par la côte Atlantique, Bordeaux, Bilbao, Burgos où ils s’arrêtèrent pour la nuit pour reprendre le lendemain vers l’Andalousie, jusqu’à Lucena où était la résidence de Grand-père qui a pu récupérer ses terres à la mort de ...
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