Resquilleur - Histoires de Sexe

Resquilleur

J'étais gamin et le jeudi j'avais une astuce pour me faufiler dans un cinéma sans payer. Il y avait une petite porte à l'arrière que je savais non fermée et j'attendais que l'opérateur rejoigne la salle technique de projection pour m'introduire à quatre pattes dans la salle. J me mettais entre deux rangées et je pouvais voir le film. Mais un jour, je fus dénoncé et bien sûr pris. Le gérant m'a laissé à ma place et à voix basse m'indiqua que j'étais un resquilleur passible de prison. Je n'en menais pas large. "Il faut que je prévienne ton père et qu'il paie ta place". "Oh non pas ça, il va me tuer". Il resta un long moment silencieux puis il posa sa main sur ma cuisse nue qu'il caressa doucement allant du genou jusqu'au haut de la cuisse. "Il faudra que tu sois gentil et que tu ne dises rien"; "Oui, je ne dirais rien à personne". "Bon !" dit-il. Nous étions dans un angle que le projectionniste ne pouvait pas voir, d'ailleurs c'est pour ça que je m'étais mis là. La main du gérant tâtait ma cuisse avec plus d'insistance et remontait de plus en plus haut. Cette caresse me gênait mais m'excitait et je la trouvait agréable. Comme je ne faisais aucun geste de protestation la main passa par la jambe du short et à travers mon slip il tripotait mon sexe qui commençait à se raidir. "Tu aimes que je fasse ça ?" J'ai hoché la tête en signe d'approbation. Sa main passa derrière l'élastique de mon slip et trouva mon sexe tendu. De l'autre main il déboutonna le bouton de la taille et ...

... baissa la fermeture éclair. De temps en temps il regardait autour et surtout dans la direction du faisceau de projection, puis reprenait sa caresse. Lentement, il baissa mon short avec le slip jusqu'aux chevilles, puis me l'enleva carrément. Je me suis retrouvé à moitié nu sur mon fauteuil, face à lui. Il y avait trois personnes dispersées dans la salle et ils ne pouvaient rien voir. Il me caressait de ses deux mains le ventre les cuisses et mon sexe tendu. Entre deux de ses doigts il me décalotta puis se pencha et commença à donner quelques petits coups de langue sur le bout. Ma peur s'était évanoui et le plaisir montait en moi. De ses lèves il me suçait le gland lentement, s'arrêtant puis reprenant. Que c'était bon ! Peu à peu il a englouti tout mon sexe dans sa bouche pleine de salive. Je n'avais jamais ressenti un tel plaisir. Il avalait toute ma tige et se retirant pinçait ses lèvres pour épouser toutes les formes de mon sexe. Il se mit à genoux dans la rangée pour mieux me sucer. D'une main  il maintenait mon sexe décalotté et de l'autre il caressait mes petites boules. Boules qu'il aspira en même temps que ma tige. C'était délicieux !
Il s'appliqua et alla de plus en plus vite. Je ne pus me retenir et je lâchais tout mon jus dans sa bouche. Je voulais me retirer mais il me tenait fermement et il avait l'air de se régaler. Il continua jusqu'à ce que ma queue perde de sa rigidité. Il se redressa enfin et s' assit dans le fauteuil. "Rhabille-toi" me dit-il sèchement. Je ...