Au campus - Histoires de Sexe

Au campus

... plus tôt n'était pas aussi angélique que je pouvais le prétendre. Quand je me suis retourné mon sexe était tendu droit devant. Mon camarade du premier jour finit de le décalotté et passa le gant savonneux sur le gland. Il en profita pour passer partout sur mon torse avec des gestes lents et tendres. J'étais en-savonné complètement et Aurélien activa le robinet de la pomme de douche pour me rincer. Il avait enlever le gant et de sa main il enlevait la mousse. Il insista sur mon sexe qui n'avait pas perdu de sa vigueur. En deux trois mouvements il se dégagea de son short et vint me rejoindre sous le jet de la douche. Mutuellement nous nous caressions et nous avons entamé une pelle merveilleuse. Son baiser était doux comme ses caresses, sa langue fouillait mon palais avec fougue, nos queues tendues se croisaient comme des épées. L'eau coulait sur nous ce qui rendait nos gestes plus excitantes. Aurélien coupa le jet de la douche et se mit à genoux. Il me prit par la taille de ses deux mains et absorba ma tige au plus profond de sa gorge. C'était magique, sa bouche épousait bien tout le relief de ma queue, sa langue titillait le frein avant de reprendre tout mon sexe. Je l'encourageais en lui caressant ses cheveux mouillés.  Il suçait comme il caressait avec douceur et application. Ma sève montait et je le repoussais pour qu'il arrête cette pipe, puis l'invitais à me suivre dans ma chambre. Nous nous sommes jetés sur le lit comme des malades en manque et nous ...

... nous sommes mis en position 69. Je dégageais ce long prépuce pour découvrir son gland rose que j'aspirais aussitôt. Je le suçais dans la même cadence que lui en lui tâtant ses petites boules lisses. Je sentais sa bouche chaude me pomper et m'aspirer. Je lui fis replier les genoux pour que puisse atteindre son petit trou que je léchais avidement avant d'introduire la pointe de ma langue. J'essayais de plonger ma langue au plus profond et je me régalais. Il commençais à gémir, puis il se mit à quatre pattes et me dit :"Allez vas-y". Il pointait ses fesses en offrandes les épaules sur le lit et ses mains qui écartaient les lobes de ses fesses. Je me mis à genoux et je posais le bout de mon gland sur sa rosette légèrement dilatée. Je n'eus aucun mal à m'enfoncer dans son ventre. Une fois arrivé à fond j'ai entamé un va et vient  en le cramponnant par les hanches. J'allais et venais et il commença à gémir de plaisir. Il bombait les fesses de plus en plus vers moi pour que je le pénètre au plus profond. Je regardais ma queue rentrer puis disparaître entre ses fesses, c'était magique. Ses gémissements devinrent des cris de plaisir et moi, trop excité je lâchais tout mon jus au fond de ses entrailles. Une fois bien vidé j'ai retiré mon chibre plus ramolli et je me suis affalé sur le lit épuisé. Il se coucha sur le côté et je pouvais voir du jus qui dégoulinait de son anus.
"Laisse-moi reprendre quelques forces et c'est moi qui vais t'enculer" me dit dit haletant.