Aller che mon oncle - Histoires de Sexe

Aller che mon oncle

... sa bouche. La bouche était chaude et enveloppante, je sentais ses lèvres chaudes me déguster, sa langue furtive titillait mon gland et son frein. C'était formidable ! Il mettait beaucoup de salive pour que ça glisse bien. Quand il se retirait, il jouait de la langue sur mon méat et replongeait mon sexe dans le fond de sa gorge. "Ne te retiens pas petit, gicle quand tu veux". À ces mots je me suis cambré arque boutant mon bassin vers l'avant et je lui lâchait tout mon jus dans la bouche. Il déglutissait au fur et à mesure de l'arrivée des saccades et envoyait de "hum-hum" à chaque fois. Puis il demeura immobile gardant ma tige dans sa bouche mais en agitant la langue sur le bout du gland, c'était divin ! Il a maintenu cette position un bon moment, jusqu'à ce que ma bite commence à ramollir. Enfin il se redressa et me dit "je crois que c'est la meilleure pipe que j'ai pu faire jusqu'à maintenant, bravo tu m'as tellement excité !" Je suis resté dans cette position regardant à droite et à gauche pour m'assurer que personne nous regardait. "Non, n'aie pas peur, je connais l'endroit et il n'y a personne, surtout à cette heure ci ! 
Ma queue était redevenue toute petite, bien vidée. Elle luisait encore du mélange sperme-salive. Je me suis baissé et j'ai remonté slip et short pour les remettre à ma taille. Lui avait penché son siège en arrière et fermait les yeux. "C'était tellement bon que je crois que je vais m'endormir". J'étais encore tout remué de ce qui venait de se passer, ...

... moment inopportun et inattendu qui m'a comblé de joie. Je l'imitais et fermais à mon tour les yeux. J'entendais les oiseaux gazouiller et au loin quelques machines agricoles qui devaient moissonner. J'avais les yeux clos mais j'entendais mon bonhomme qui bougeait. Quand j'eus rouvert les yeux  mon chauffeur avait enlevé ses vêtement et se retrouvait complètement nu derrière son volant.  "Regarde petit, elle es un peu plus grosse que la tienne mais elle est mignonne, tu trouves pas ?" Je matais cette bite tendue à moitié décalottée. "Vas-y touche, elle ne mordra pas !" Je tendis la main et saisis ce saucisson rond et nervuré. Au toucher elle était chaude et très dure. Il avait reculé son siège et tendit les jambes faisant ressortir ce sexe poilu et magnifique. "Elle est à toi, tu peux lui faire des bisous, elle aime ça".
Je me suis penché et j'ai approché mes lèvres de son membre turgescent. "Vas-y ouvre la bouche et déguste la" En effet j'ouvris la bouche et sa queue pénétra mon palais. Comme il me l'avait montré, j'ai commencé à sucer cette tige caoutchouteuse qui faisait des soubresauts sur ma langue. Plus ça allait plus j'y prenait du plaisir et je suçais avidement tout en le branlant. Ses poils pubiens me  chatouillaient le nez, et je pompait comme les putes que j'avais vu dans un CD porno que mon père cachait dans son armoire. Mon conducteur s'agitait du bassin t me limer la bouche, il donnait la cadence et allait et venait à son rythme me baisant la bouche. Je caressais ...