1. Enfant de Choeur


    Datte: 11/09/2020, Catégories: Première fois Vos histoires

    Comme tous les mercredis je vais célébrer la messe comme enfant de cœur. Nous sommes deux à assister le curé : l'enfant de gauche qui ne fait rien et l'enfant de droite qui fait tout : sonnette, burette, communion... ceux qui connaissent savent de quoi je parle. Nous sommes habillés d'une soutane rouge et portons un dessus blanc brodé, classique !
    Ce jour là, il y avait le curé et nous. Les fidèles ne s'étaient pas rendus disponible pour assister à l'office. Mon camarade, un petit blond très mignon, très timide, ce jour là m'excitait. Son air jovial respirait la santé et laissait voir un caractère heureux et sans problème. Il me lançait de temps à autre des petits clins d’œil de complicité et je lui rendait de même. Une fois la messe terminée, le curé pressé de partir nous chargea de ranger les affaires, de fermer l'église et de remettre les clés au presbytère. Le curé s’éclipsa et, comme tout bon enfant de cœur nous avons bu quelques rasade de vin blanc qi s'il n'était pas trop bon avait la saveur du sacré et de l'interdit.
    Nous nous sommes assis l'un en face de l'autre, toujours affublés de nos habits de cérémonie et mon camarade pourtant timide me déclara qu'il bandait. Je lui répondis "ce n'est pas possible !" "Si, regarde". Il souleva sa soutane et me montra la bosse de son short. "Fais la voir" dis-je. Il baissa l'élastique de son short et fis ressortir sa petite queue tendue. Puis il relâcha la bure rouge qui retomba sur ses chevilles. À la vue de cette bite lisse ...
    ... je me suis mis à bander fort. "Refais voir là que je la regarde". Aussitôt il se mit debout et remonta ses effets. Mes yeux n'arrivaient pas à se détacher  de son entrejambe, puis il relâcha. "Je veux bien te remontrer mais il faut que tu fasses pareil. Ce que je fis. Il était lui aussi subjugué par ma tige à moitié décalottée. "Ferme le porte à clé,que personne ne rentre et on va se défaire de notre soutane". Je vais fermer la porte de la sacristie et entame le déboutonnage des innombrables boutons après avoir enlevé ma petite chasuble en dentelle. Je garde mon tee shirt mais enlève mon short en deux temps trois mouvements. Mon acolyte fait de même et dans notre frénésie nous nous précipitons l'un vers l'autre. Nous nous roulons des pelles pendant que nos bites chaudes jouent aux épées.  Mon camarade me pousse et me renverse sur un petit autel de la sacristie, puis se place entre mes jambes et prend ma bite entre ses lèvres. Je suis affolé et sa caresse buccale  me comble. Ses lèvres pleines de salive glissent sur ma tige érigée. Quel délice ! De sa main il tâte mes petites boules en continuant à me sucer. De l'autre main il me caresse le ventre et les cuisses, je suis aux anges. Soudain, je sens la sève monter, je veux qu'il s'arrête mais comme un mort de faim il continue. Ne pouvant plus me retenir je crache toute ma sauce dans sa bouche. Il ne s'arrête pas et avale tout au fur et à mesure en ralentissant sa pompe. Il pince ses lèvres pour tout avaler. Il tire sur ma teub ...
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