Isabelle
Datte: 28/09/2020,
Catégories:
Hétéro
Vos histoires
Cette histoire se passe en 1978. Je venais d’avoir 18 ans et j’étais dans un lycée d’enseignement professionnel du 92 dans une section où il y avait plus de filles que de garçons.
Lors des cours, c’était toujours très agréable d’admirer les jolis petits culs lorsque l’une de ces demoiselles devait passer au tableau.
Je me souviens notamment de l’une d’entre elles qui se prénommait Isabelle. C’était une petite blonde, les cheveux mi-longs, un visage d’ange, un cul et des seins à faire bander un cheval de bois.
Je me souviens encore de ses seins très volumineux dont elle jouait avec pour exciter les mecs. Faisant parti de ces derniers, je bandais régulièrement lorsque je la voyais. Si en plus, elle s’apercevait qu’on la matait, elle nous sortait le grand jeu en tortillant son petit cul qui a fait frémir un bon nombre de garçons de cette classe, mais aussi d’autres. C’était un peu la « star » de l’école.
Un jour, lorsque nous étions en cours de gymnastique, nous étions en extérieur pour faire des 100 mètres. Notre prof de gym était comme la plupart des profs de cette discipline, très cool.
Avec un autre garçon, nous commençons à plaisanter avec Isabelle et une autre fille de la classe qui était encore plus chaude qu’elle, mais qui était moins mignonne. Avec mon pote, on s’était dit qu’on pourrait peut-être se les brancher, même si nous étions tous les deux assez timides.
Sur le ton de la plaisanterie, nous commençons par leur dire quelque chose comme :
- « Vous ...
... savez, les filles, que nous sommes les rois du tapis ? » (en référence au tapis de protection qui sont dans les gymnases).
Elles nous répondent quasiment en cœur :
- « Eh bien moi, je voudrais bien voir ça !
- Quand vous voulez, mesdemoiselles. Maintenant si le souhaitez.
- OK.
- Vous nous suivez ? »
Comme notre prof était sympa, on se risque à rentrer dans le gymnase pour être un peu plus tranquilles.
Nous savions qu’il y avait une salle libre dans laquelle il y avait de gros tapis bien rembourrés. Arrivés sur place, nous nous asseyons et commençons par discuter de choses et d’autres, puis au bout de quelques minutes, Isabelle nous demande si elles sont venues là seulement pour discuter.
Isabelle était assise sur ses talons, je passe derrière elle et je commence par lui caresser les seins. Elle doit être très sensibles de cette partie-là car je sens qu’elle respire un peu plus fort et un peu plus rapidement que quelques instants auparavant.
Elle est super serrée dans son haut et je ne peux pas passer mes mains en dessous pour lui caresser à même la peau. J’aurais pu lui caresser les tétons et vérifier qu’ils étaient dressés et bien durs.
Ce n’est pas grave car rien que le fait de la caresser pendant que sa copine et mon pote mataient pour voir comment cela allait se terminer, ça me faisait bander à mort. Isabelle ne pouvait pas ignorer cette queue qui devait lui rentrer à moitié dans les fesses. Mon survêtement (à l’époque, on n’appelait pas ça un jogging) laissait ...