1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°840)


    Datte: 04/12/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... chose. - Mon chien ! As-tu fini de déposer mes vêtements à leur place ? Alors approche sans tarder, tes mains sont requises, puisque ta sœur n’est pas tombée dans le piège que Je lui avais tendu et n’a pas été à l’encontre de Mes ordres, même si Je me doute que l’envie ne lui manquait pas de prendre Mon Joyau entre ses mains. Le chien-mâle ne se fit pas prier et c’est avec délicatesse qu’il extirpa la Noble verge du Maître qui se redressa aussi sec. Il descendit le boxer de quelques centimètres, mais dans la position dans laquelle se trouvait le Noble, à genoux de part et d’autre du corps allongé en étoile de la soumise, il fut bien dans l’embarras pour aller plus loin. - Allons, dépêchons ! Tu crois que je n’ai que cela à faire d’attendre que tu veuilles bien prendre le temps de descendre centimètre après centimètre mon boxer avant de le retirer complètement. Demain, je pars en voyage sur Mon paquebot, sur Mon Odyssée, et je pense que quelques heures de sommeil après la soirée et ces derniers ébats sexuels ne seront pas de refus. Donc, tu te débrouilles comme tu veux, mais je t’accorde quatre secondes pas plus ! Ne vois-tu pas que j’ai déjà les mains occupées à malaxer la poitrine de Ma belle chienne dont les tétons gonflent et durcissent dès que Je les lui titille ? …. 1 …. 2 …. L’esclave sans réfléchir plus longtemps, au risque de laisser les quatre secondes s’écouler, se décida à attraper délicatement la jambe gauche du Dominant pour la soulever afin de pouvoir tirer le ...
    ... boxer sur les mollets. Il fit de même avec l’autre jambe après s’être carrément affalé sur le corps de sa sœur de soumission couchée sur le lit. Au moment où le Maître annonçait le « 4 » fatidique, il était en train de prendre en mains le boxer, laissant le Châtelain en tenue d’Adam, mais si excité avec un membre gonflé de désir qu’il aurait été bien difficile de lui faire porter une feuille de vigne si un peintre avait dû l’immortaliser pour en faire une peinture pudique comme sur les représentations faites dans les siècles passés. Monsieur Le Marquis enfila son gland gonflé de sang dans la chatte soyeuse de Sa chienne, sans la moindre difficulté et d’un seul coup de reins, il fit pénétrer son phallus en entier. La soumise contractait ses muscles vaginaux pour accentuer la pression sur la Noble verge qui allait et venait avec des coups de butoir qui la faisaient chavirer de plaisirs. Le Noble mettait toute son énergie à la pénétrer profondément, allant jusqu’à venir en butée sur le fond du vagin, tandis que ces deux couilles pleines venaient taper sur le scrotum et l’anus. - Que c’est bon, mes fidèles chiennes et chiens, que vous Me faites bander de votre docilité, de vos gestes ou de vos soupirs d’extase... L’esclave mâle se demandait bien comment il allait pouvoir exécuter au mieux l’ordre qu’il avait reçu. C’était un ballet infernal de vas-et-viens et sitôt qu’il s’approchait des fesses du Dominant, celles-ci partaient vers l’avant et revenaient aussitôt en arrière sans ...