Anniversaire - Histoires de Sexe

Anniversaire

... prends et j’apprécie ce plaisir qui m’est offert pendant que Guillaume nous regarde. Mais Guillaume doit partir. Marc s’arrête alors. Nous continuerons à jouer un peu plus tard. Nous sortons de la pièce, et c’est là que je m’aperçois que plusieurs hommes étaient là à suivre nos ébats derrière une fenêtre qui n’était pas calfeutrée. Je suis assez ravie du spectacle que nous leur avons offert. C’est avec le sourire aux lèvres que je me dirige vers le bar suivi de Guillaume et de Marc. Les garçons semblent ravis de leur surprise. Moi aussi. Quelle belle expérience. Nous discutons le temps d’un verre avec Guillaume puis il nous quitte en nous rappelant qu’il peut se rendre disponible le lendemain, car il a bien compris que nous avions pris aussi la journée de demain pour profiter de nous et de tous les plaisirs que la vie nous propose. Toujours le sourire aux lèvres et plein d’images en tête, nous poursuivons notre journée dans le club. Après un petit passage au jacuzzi, puis un autre au sauna, nous décidâmes de profiter de la salle aux balancelles. Hum, j’ai découvert les balancelles depuis peu, mais que de bons souvenirs (c’est une autre histoire que je vous raconterai peut-être un jour). J’aime ce doux va-et-vient de la queue de mon chéri à bonne hauteur, dans ma chatte ouverte à souhait. J’aime avoir les jambes maintenues dans cette position. Sentir que je ne peux me dérober. Juste profiter du plaisir qui m’est donné. Il semble apprécier lui aussi. Sa queue ne débande ...

... pas. Il est toujours aussi excité et j’attends avec impatience le moment où il va exploser. Il sait se retenir. J’aime ça. Parfois je voudrais que ce soit rapide et intense. Mais là, nous ne sommes pas pressés. Nous avons toute la soirée devant nous. Nous restons ainsi un long moment, doux, tendre, entre nous. Puis, sentant l’excitation monter, j’ai une irrésistible envie de le sucer alors que nous sommes dérangés par du monde qui frappe à la porte. Nous stoppons notre doux moment pour nous réfugier dans une autre pièce plus au calme. Là, bien installés, lui allongé sur le dos, sa queue dressée vers moi, comme un signal, un appel au plaisir et moi, face à lui, à quatre pattes, la croupe relevée, prête à me faire prendre par le premier venu, je suis toute à lui. Je commence à lui caresser la queue. La prend en bouche. Le gobe. Suce ses couilles. Je le lèche de bas en haut et de haut en bas. Hum, que cette queue est bonne et réactive. J’adore. J’exerce de petites pressions de ma main à chaque mouvement. Je sens sa queue grossir, durcir, le plaisir monter. Sa queue mouille, jute. C’est bon… J’accélère alors le mouvement avec ma main. Ma langue joue avec son gland. Il est au bord de l’explosion. Je sens que ça vient. Il commence à gémir. J’exulte. Ça m’excite toujours autant de donner ce plaisir-là. Il crie. C’est la délivrance, la quête ultime… Il jouit. Je le regarde. Lui sourit avec mes yeux, la bouche pleine de son foutre. Je t’aime mon amour. Merci pour ce beau cadeau ...