1. Oups !


    Datte: 04/12/2017, Catégories: fh, fhhh, frousses, couplus, hépilé, bateau, Voyeur / Exhib / Nudisme Transexuels intermast, Oral pénétratio, fdanus, fsodo, hsodo, québec, humour, aventure,

    ... méchants. Marie sourit en me donnant un bisou. — Je t’aime comme ça, Paul. Gros mâle protecteur jusqu’au bout des ongles.— Moi aussi je t’aime, comme tu es minou.— OK ! C’est-à-dire, mon beau ?— C’est-à-dire, eh… jolie et dangereuse. On y va, la bombe ? Elle rit en secouant la tête et rajouta en se moquant de moi : —J’ai le tour pareil avec les filles, hein, comme tu dis souvent ! Et elle trouva ça drôle en plus. Je lui fis une grimace. — Et ses lunettes par terre, le vexé ? me demanda-t-elle.— Eh… Il reviendra les chercher, l’obsédé. J’ouvris la porte pour la laisser passer et elle dit en prenant les escaliers : — Wais, en tout cas ça vous fait de l’effet, une belle femme en robe rouge, les gars.— Prétentieuse.— Pardon !— Eh ! Rien minou. J’ai une petite histoire pour toi.— Ah non, pitié Paul.— Est bonne, écoute : un homme rentre chez lui un soir, sa femme lui demande de la sortir dans un endroit cher, parce que ça fait longtemps qu’ils ne sont pas sortis en amoureux. Sais-tu où il l’a emmenée ?— Dans une station-service, Paul. Gros soupir. Elle les connaît toutes, pas croyable. Elle rit un moment, toute heureuse de son petit effet, puis me raconta en détail l’épisode de l’ascenseur. — Faudrait que tu me donnes des cours d’auto-défense, Marie. On ne sait jamais.— Pourquoi ? T’as peur qu’un français te prenne les fesses aussi dans un ascenseur.— Eh… Loric n’en avait pas cru ses yeux quand il était arrivé face à face avec la rousse. La lampe de poche de l’homme qui ...
    ... l’accompagnait l’avait ébloui et empêché de la reconnaître avant qu’elle ne soit sur lui et, comble de malheur, elle portait du rouge vif. Il avait eu aussitôt l’impression qu’on lui enfonçait des aiguilles chauffées à blanc dans la cervelle, puis il n’avait vu que du noir et elle l’avait giflé. Il s’était enfui à sa cabine, en partie aveugle, tout en gémissant de douleur. — Maudite rousse ! cria-t-il dents serrées avant d’avaler cinq comprimés d’analgésique en tremblant de rage. Comment pouvait-elle savoir pour le rouge ? Car il ne doutait pas un instant qu’elle l’avait fait exprès. « Elle devait avoir eu accès à mon dossier médical qui se trouvait dans une clinique privée à Zurich, donc savoir qui je suis », pensa-t-il. Loric n’en revenait pas, il réalisa qu’il venait de rencontrer sans doute son pire adversaire, son Moriarty, rien de moins. Une fois la douleur estompée, son mal de tête et sa joue, il repartit pour la cale, mais en emportant cette fois des verres spéciaux qui occultaient le rouge, fabriqués spécialement pour des gens comme lui. Ensuite, il s’occuperait d’elle. Une fois au deuxième, Marie s’appuya sur mon épaule pour remettre ses souliers, sous une porte de cabine provenait de la lumière orange et on entendait de la musique. Une stéréo à piles probablement ou un lecteur MP3, et la Marie se plaça devant moi en croisant ses mains sur ma nuque. — Paul, il y a un spectacle de sosies demain soir, ce sont eux qui font la fête dans cette cabine. Ils me prennent pour…— Ton ...
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