Le fantasme de Jean - Histoires de Sexe

Le fantasme de Jean

... long que ta queue, et c’est en pensant à toi que je l’empoigne. Ce n’est plus mon mari que je tiens en main, mais un parfait inconnu à qui nous faisons confiance et qui, sûr de lui, va bientôt me pénétrer. Je regarde sa bite, et je pense que c’est un très bel engin, ce qui me met en appétit. C’est vraiment une très belle bite, une bite bien formée, décapuchonnée, presque droite, légèrement arquée vers le haut, qui donne une impression de puissance naturelle, une bite en proportion avec son corps. C’est une bite qui monte en puissance, impatiente de trouver un logement pour se mettre au chaud. Cette bite me plaît, je sens que vais te faire plaisir. Je commence à le masturber, ma main se promène sur toute la longueur de la hampe et le sexe prend rapidement du volume, un volume bien supérieur au tien, et je détecte dans ton regard une pointe de jalousie. Fred me prend la tête à deux mains, m’embrasse sur le front, les joues, la bouche, puis m’oblige à me pencher vers son bassin. Je comprends son désir de m’offrir sa queue. Je lance un regard dans ta direction : tu souris en te triturant à travers ta poche. Alors je me lance. Ma langue se pose sur le gland, et tout doucement, commence à le lécher, d’abord par de légères touches puis, m’enhardissant, je lèche la verge sur toute sa longueur. En même temps ma main va se promener à la base, lui enserre un testicule, puis l’autre. Je sens la queue se durcir. J’ouvre maintenant la bouche pour l’absorber sur la moitié de sa ...

... longueur. Ma langue s’enroule autour. Après cette première approche, je me recule pour regarder le visage de Fred. Celui-ci me fait relever et m’attire pour que je me couche sur ses genoux légèrement écartés. Ma tête pend dans le vide en arrière, il caresse ma poitrine de la main gauche, à l’intérieur de mon décolleté, triture mes tétons pour les faire saillir. Il sort mes deux seins et les malaxe. Tu as les yeux rivés sur mes mamelles ; j’imagine que tu voudrais bien être à la place de Fred, mais tu n’es plus maître du jeu. Ma robe, qui est déjà très courte, est remontée jusqu’en haut des cuisses et ne cache plus grand chose. Fred la remonte jusqu’à mon ventre. Je me sens nue et obscène, face à toi qui me dévores des yeux. Tandis qu’il me malaxe un sein de sa main gauche, il promène sa droite sur mon pubis, un doigt vient s’appuyer sur mon bouton, faisant des tout petits cercles, et cela m’excite. Je sens mon clito durcir sous la caresse. Puis ses doigts s’insinuent lentement dans ma fente, et tu es aux premières loges pour constater qu’il écarte mes lèvres. Il peut ainsi constater que je mouille déjà abondamment. Il joue quelques minutes avec ma chatte, puis abandonne soudain ma fente et me fait asseoir sur ses genoux. Il remonte ma robe et la fait passer par-dessus ma tête, et me demande ensuite de me mettre face à lui, me fait m’accroupir : — Je crois que tu es une bonne jouisseuse, j’espère que tu fais bien les pipes. Prends ma bite et suce-la ! Et surtout n’oublie pas de me ...