1. Histoire imaginaire dans une ville perdue. (2)


    Datte: 05/12/2017, Catégories: Inceste / Tabou

    ... de là avec ses mains. « On ne doit pas faire ça... » Mince... Je le perds, je pensais que je l’avais conquis ?? Je dois enfoncer le clou. Je cherches quelques chose à dire, que puis je rajouter pour qu’il me laisse lui donner ce plaisir qu’il recherche désespérément. Je ne sais pas quoi dire. Je dois faire peine à voir. « Je t’aime moi. » « Moi aussi, ma chérie. » Sans rien dire de plus, je ravale le pénis de mon père . Je m’applique plus que jamais pour lui pomper avec autant de grâce et de vigueur que possible. Et il ne fait rien pour m’en empêcher. Au contraire ses mains bienveillante me caressent la tête, les cheveux, mon visage… Est ce que tu aimes ça ? Est ce que tu aimes quand ta petite princesse te taille une pipe ? Oui, je sais que tu aimes. Ne ment pas. Je le vois sur ton visage. Oh la joie de pouvoir te donner toute ce plaisir. Tu savoure pas vrai ? Attend un peu, je vais passer la langue par là. Mmmmh , alors ? Ah oui, c’est exquis n’est ce pas ? Et lorsque je tourne ma langue autour ? Ah oui, tu ne t’es jamais aussi bien fait sucé de ta vie, pas vrai ? Je ne peux pas parler, mes rires étouffés te font passer le message. C’est aussi excitant pour toi que délicieux pour moi. Ah mais que fais tu ? Pourquoi tu met cette main ici… ? Hiiiiiii ! Putain merde, c’est de la triche de pincer mes tétons comme ça ! Ha ! Non attend, pas ma chatte ! Je mouille déjà, c’est pas juste. Vengeance ! Je vais te ...
    ... sucer, tu va voir. Je vais te faire … mmmnnnng jhdjoole Putain merde, oh merde, mon vagin, je ne tiens plus... comment peut on contrôler à ce point un être humain juste avec deux doigts ? J’abandonne, tu as gagné. Je n’en peux plus. Regarde moi, si je ne peux pas te le dire, tu peux le voir sur mon visage ? Termines moi, achève moi, mais ne me laisse pas sans avoir atteint la jouissance. Voilà, ça vient . Je vais jouir. J’y suis presque. Désolé, je peux plus sucer… Encore… Là , ça vient… ça vient ! Je vais jouir ! Je ne sais plus ce qui s’est passé par la suite. J’ai du jouir avec la bite de mon père dans la bouche (avec ses doigts dans … ?). Il m’a raccompagné dans ma chambre. Je me souviens de ses caresses, de ses mots doux, il me raconte comment je suis la plus belle chose qui lui soit arrivé. Il me dit qu’il sera toujours là pour moi. Quand je reprend des forces, je réalise qu’il n’a jamais joui, lui. Je réalise pourquoi il est resté dans ma chambre jusque là. Je suis prête. « Je suis à toi pour toujours » lui ai -je dit. Cette nuit, je ne me souviens plus de l’heure, ni du jour de la semaine, mais j’ai fait l’amour avec mon père. Il a été doux, bienveillant, étourdissant. Je me souviens de son odeur, du parfum de ses cheveux, de sa force. Aujourd’hui encore, y repenser me rempli d’une certaine nostalgie. Je t’aime papa. Mais pas de la meilleure façon possible. Car je suis une vilaine fille. A suivre... 
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