1. Quand l'épouse devient la maîtresse - 2


    Datte: 05/12/2017, Catégories: fhh, cocus, inconnu, hotel, fsoumise, facial, Oral préservati, pénétratio, double, Partouze / Groupe jouet, yeuxbandés, confession,

    Ce récit est la suite du récit 16257,Quand l’épouse remplace la maîtresse. Il est conseillé de le lire avant, mais voici un résumé.Résumé :Agnès découvre que son mari attend sa maîtresse dans un hôtel. Elle l’a su parce qu’il s’est trompé dans l’adresse mail et que le message d’erreur est apparu sur le PC de la maison, synchronisé avec celui de son travail.Elle décide d’aller voir pour le surprendre, mais de fil en aiguille, la maîtresse ne venant pas – car n’ayant jamais été prévenue – elle prend sa place. Il faut dire que Marc, son mari, a fait toute une mise en scène qui lui permet de passer pour l’autre. Chambre annexe avec dessous pornos à porter, bâillon, cagoule, mains attachées, mais surtout rencontre dans la chambre d’à côté dans le noir le plus total.À chaque étape de la soirée, très sexuellement réussie d’ailleurs, elle recule l’instant ou elle va se montrer vraiment et confondre son mari. Mais elle faiblit et se retrouve chez elle sans rien avoir dit. Elle s’est mise dans un sacré mauvais pas. Bien sûr, Marc va savoir que sa maîtresse n’est pas venue. Alors qui ? De femme trompée, elle est devenue coupable…Mais la réalité est bien différente. En réalité, Marc n’a pas de maîtresse. Il a construit ce stratagème pour mettre du piment dans leur vie sexuelle en déclin. Et surtout, candauliste dans l’âme, il n’était pas seul dans la chambre assez éclairée après qu’Agnès soit cagoulée, et pouvoir regarder son épouse se faire prendre par un quasi-inconnu. Lui aussi ...
    ... se sent coupable. Pourtant, il voudrait bien recommencer, ayant parfaitement vu et entendu sa femme jouir sous ses assauts et celui de l’autre homme. Mais comment le faire ? Surtout, il a conscience que sa femme a toujours cru qu’il n’y avait qu’un seul homme dans la pièce : lui, son mari. _____________________________ — Bonsoir, chérie.— Bonsoir, mon amour. « Marc rentre du travail bien tôt ce soir ! » pense Agnès.« Mon Dieu, il s’est rendu compte de la supercherie et je vais devoir me justifier. Un comble. Oh, je ne vais pas me laisser faire. Après tout c’est moi la cocue ! Attends, mon petit… » — Marc, j’ai quelque chose à te dire. Assieds-toi ! dis-je le plus sèchement possible. Mais il ne m’obéit pas. Il se dirige vers le bureau et je l’entends dire « En plus, c’est revenu ici aussi ». Il revient. — Marc…— Attends, attends : j’en a une bien bonne à te raconter. Il a son air enjoué de gamin farceur. Mon mari est resté très joueur. Quelquefois je me demande si je n’ai pas épousé un éternel ado. — Tu connais Julien Prunoite ? Mais si, je t’en ai déjà parlé : un dragueur invétéré, le chéri de ces dames. Je fais celle qui se souvient mais en réalité cela ne me dit rien. — Eh bien, il lui en est arrivé une bien bonne !— Ah ?— Attends, attends, tu vas rire. Figure-toi qu’hier soir, son PC, sa messagerie, tout était en rade et il m’a demandé de se servir du mien. Moi j’allais en réunion, aussi je l’ai laissé faire. Et c’est là que tu vas rire.— Ah ! dis-je, pas transportée ...
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