1. ...gang bang (2)


    Datte: 06/12/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    ... bite de ses deux mains en coquille. J’accélérais encore frénétiquement. Quand Pablo sentit que j’allais jouir, il ressortit ma queue de sa bouche et la branla frénétiquement de ses deux mains. Je déchargeais trois jets brûlants sur son visage. Paulo vint presque en même temps que moi. Cette fois, on était rassasié tous les quatre. Du moins, pour le moment. On retourna à la mer pour se laver mutuellement. Rentrés dans « la cabane », on rapprocha les deux grands lits et on s’étendit, nus, imbriqués les uns dans les autres. Assez vite, on sombra dans le sommeil… Pendant la nuit, je fus réveillé, à plusieurs reprises par de l’agitation autour de moi. C’était très doux, mais j’ai aussi le sommeil très léger. Une fois c’était Paulo et Ali qui se caressaient très doucement, une autre fois, Pablo se faisait sucer par Ali. Increvable, cet Ali ! A chaque fois, je préférais faire semblant de dormir, ça m’excitait plus de faire comme ça. Au milieu de la nuit, je fis même un rêve érotique bien bien chaud avant de comprendre que ce n’en était pas un mais bien quelqu’un qui s’occupait doucement de ma bite, en vrai. Je décidais de continuer mon petit jeu. Qui ça pouvait bien être ? Je penchais pour Ali, sans en être sûr à cent pour cent. Ma bite s’était bien raidie, bien mouillée. Il la branlait doucement du bout de ses trois doigts. Je le sentis se rapprocher de moi et sentis bientôt son gland humide me frotter doucement la raie. Visiblement, mon inconnu ne cherchait pas forcément à me ...
    ... réveiller, ni à se faire connaître ! Je fis mine de bouger dans mon sommeil pour mieux lui offrir mes fesses écartées et lui faciliter le passage. Fut-il dupe de mon stratagème ? Il mit un temps infini mais ô combien délicieux à me pénétrer tout en douceur. Une fois en moi, il ne bougea plus. C’était trop bien de le sentir ainsi en moi. Je sentais presque son cœur battre dans les palpitations de sa bite. Au bout d’un très long moment de douceur infinie, il se retira doucement, sans avoir joui. On se réveilla tous très tard. Le petit déjeuner expédié, on décida d’aller passer la journée sur un petit ilot désert, pas très loin, avec le dériveur caché sous la cabane. Etant un grand fan de slips et de maillots de bain- surtout ceux de Paulo-, j’avais enfilé un des maillots que Paulo avait amené, les autres avaient fait pareil. Très vite, le soleil, la mer désertique, le bateau, on s’était tous débarrassé de nos fins tissus, préférant jouer les »Robinson » à fond. Quel merveilleux spectacle que ces jeunes gaillards, beaux, musclés, nus, à la manœuvre des voiles ! On aurait cru le voyage d’Ulysse ! Quand quelqu’un avait trop chaud, il plongeait, manquant à chaque fois de faire chavirer le bateau passablement surchargé. Très souvent, un autre allait aussitôt le rejoindre dans l’eau pour le lutiner sous l’eau. Le plus dur, c’était de remonter dans le bateau. Ali, toujours lui, nous fit bien marrer quand il fit mine de confondre la barre du gouvernail avec la bite tendue en permanence de ...
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