Une nouvelle vie pour Marion
Datte: 06/12/2017,
Catégories:
f,
fh,
couple,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
facial,
Oral
prememois,
Comme tous les jeudis depuis le début de son stage en gériatrie, Marion était de repos. Elle profitait en général de ce jour de repos pour laver son linge et aider à la maison chez les Dubourg. Laurence et François travaillaient à l’étude et les enfants étaient à l’école. Une fois prête, travailleuse, elle appliqua les consignes laissées par Laurence sur le tableau magnétique de la cuisine. La première tâche consistait à étendre du linge, ce qu’elle fît dans la buanderie. C’est en triant les affaires qu’elle tomba sur des vêtements tout à fait singuliers, appartenant de toute évidence à Laurence Dubourg. C’est avec curiosité et intérêt qu’elle étendit ce qui s’apparentait à une guêpière et son ensemble porte-jarretelles ainsi que quelques strings très jolis dont l’un deux était fendu devant. Marion n’avait certes jamais vu sa mère nue ou en sous-vêtements, mais elle n’était pas inculte en la matière pour autant. Elle savait de quoi il s’agissait, mais n’en avait jamais touché, vu d’aussi près, encore moins essayés. Elle chassa cette idée de sa tête puis acheva d’étendre le linge. L’espace d’une seconde elle trouva pratique la fente sur le string pour faire pipi. Puis elle se mit à rire toute seule, empourprée de gêne en réalisant à quoi devait servir cette fente. Heureusement que personne n’avait pu lire cette pensée aussi naïve.« Quand même… les Dubourg », se disait-elle. La deuxième tâche, nettoyer les salles de bains. Celle de Laurence et François d’abord, la plus grande. ...
... C’est en frottant le pommeau de la douche que l’image du string fendu lui revint à l’esprit. Gênée, presque embarrassée elle imagina le sexe de François trouver son chemin dans la fente du string puis dans le sexe de Laurence. Elle n’aurait jamais imaginé un jour avoir une telle pensée à leur égard. Les amis de ses parents étaient-ils vraiment comme ça ? Ses parents en avaient-ils connaissance ? Marion n’oserait jamais aborder un tel sujet avec eux. Dans la deuxième salle de bain, celle des enfants, c’est en récurant les toilettes à moitié à genoux, à moitié à quatre pattes, que les images lui revenaient. Elle ne parvenait décidément pas à ne plus y penser. Cette chaleur inhabituelle pour elle qui émanait de son entrecuisse ne tarissait pas. Dans son esprit le sexe de François faisait des allées et venues dans le sexe de Laurence. L’image de son sexe souillé des sécrétions de sa femme provoquait à Marion des spasmes dans le bas-ventre. Marion pour terminer son ménage se contraignait de serrer les cuisses, de se contorsionner. Avant d’entamer la troisième et dernière chose à faire, Marion devait se soulager. Ce plaisir solitaire, elle le pratiquait assez peu grâce (ou à cause) à une éducation puritaine. Âgée de dix-huit ans et quelques mois, Marion pouvait compter cette pratique, sur les doigts d’une main. La première fois c’était il y a un an, dans la baignoire lorsqu’elle habitait encore chez ses parents près de Châtellerault. Elle avait par hasard, sans le vouloir, effleuré ...