Mon jeune valet (3)
Datte: 06/12/2017,
Catégories:
Gay
... deux semblaient fascinés par la bite toujours raide de Fulbert. Je poussais ce dernier vers le plus jeune et Ahmed vers le plus âgé. Se mettant à genoux, les deux gars se saisirent des chibres ainsi offerts et entreprirent une savante fellation, alternant d’un sexe à l’autre et parfois goûtant en même temps aux deux vits frémissants. J’en profitais pour m’intéresser à l’arrière-train de Fulbert, dont les deux puissants mamelons d’ébène luisaient devant moi. Ma virilité qui était un peu retombée en position repos, reprit vite de la force et se redressa lentement en dégageant le gland déjà congestionné. Je commençais à le frotter dans le pli interfessier, m’attardant au passage sur l’anus encore bien serré. J’avais vraiment envie de posséder ce grand noir, ici, devant tout le monde et en particulier devant mon valet Ahmed. Ma verge était raide et dure, gonflée de sang. Mon gland posé sur l’œillet, j’appuyais doucement et senti Fulbert pousser son cul vers moi. A ce signal, je ne me retins plus et m’enfonçais d’un trait dans ses entrailles par son sphincter bien distendu et le ramonais vigoureusement. Je voyais à mes côtés Gilles, le grand blond, s’escrimer sur le cul d’Ahmed alors que je sentais son copain Pierre me triturer les fesses et chercher mon petit trou. Je le laissais faire, espérant une bonne sodomisation par ce mec jeune et viril. Je fus encore plus excité lorsque je le sentis s’introduire en moi. Je redoublais de vigueur, défonçant avec violence le cul de mon ...
... bel athlète noir, le mien étant profondément travaillé par le sexe long et épais de Pierre. Nous avons finalement trouvé une cadence commune et éjaculé en même temps dans de grands cris de plaisir. Puis les deux jeunes qui avaient bu goulument le sperme de Fulbert et d’Ahmed, se sont activés à nettoyer nos verges et nos culs de leurs langues baveuses. Satisfaits, nos services trois pièces propres et au repos, nous sommes retournés au bar, boire une dernière bière. Puis Ahmed et moi, laissant les autres poursuivre la soirée, nous sommes rentrés à la maison pour nous coucher, nus et apaisés et nous endormir dans les bras l’un de l’autre. Au petit matin je me réveillais avec, comme souvent, une superbe érection. A mon côté, Ahmed dormait encore, allongé sur le ventre, les fesses à l’air, la tête enfouie dans l’oreiller, un bras pendant hors du lit, l’autre replié vers la tête dont je ne voyais que les cheveux noirs et bouclés. Ce corps de jeune mâle, brun et humide de sueur, abandonné dans mon lit telle une offrande des dieux à ma maturité, accéléra le rythme de mon cœur et fit monter en moi un désir dejouissance immédiate. Me couchant sur Ahmed de tout mon long, ma verge tendue plaquée sur ses fesses chaudes, mes mains sur ses épaules pour le maintenir fermement, je cherchais de mon gland son anus dans le pli fessier. Réveillé, Ahmed tenta de se redresser. Mais de mes deux genoux je maintenais ses jambes écartées et mon membre raide à me faire mal, trouvant son trou du cul, je ...