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    Datte: 06/12/2017, Catégories: f, fh, jardin, collection, Voyeur / Exhib / Nudisme ffontaine, Masturbation Partouze / Groupe sf,

    ... faire ce dont ils n’ont pas envie, mais plus personne ne songe non plus à leur cacher les merveilles de l’acte d’amour, qui sont maintenant exposées au soleil. Seuls les tout-petits, qui ont moins de dix-huit ans et vont encore à l’école maternelle, regardent ailleurs car cela ne les intéresse pas ; ils préfèrent jouer avec leurs peluches. Si l’on ne craint plus d’étaler sa sexualité au grand jour, par contre, les spectacles violents comme les vieux Star Wars et autres films de guerre mettant en scène la haine et le sang sont strictement réservés aux adultes de plus de cinquante ans, le nouvel âge de la majorité, et sont projetés uniquement dans des salles de cinéma spécialisées où l’entrée est taxée à 500 % et où l’on s’y rend tout honteux et en se cachant – c’est pourquoi ces établissements ne fonctionnent qu’à la nuit noire, dans les quartiers glauques, et sont signalés par de lugubres néons rouges. Il y en a même qui viennent masqués d’un loup pour ne pas être reconnus. Tout le monde s’étonne que plus de deux siècles plus tôt, c’était le contraire : les parents emmenaient leurs enfants de douze ans au cinéma pour voir des images où la violence et la mort étaient omniprésentes jusqu’à l’écœurement. Par curiosité, Jolisourire est allé voir l’un ces vieux films le jour de ses cinquante ans, nuitamment et en cachette de ses parents chez lesquels il vivait à l’époque : pris de nausées, il n’a pas pu rester jusqu’à la fin et a vomi ses popcorns sur son siège, se promettant ...
    ... solennellement de ne plus jamais recommencer. Enfin, rien d’anormal : c’était l’époque de sa crise d’adolescence, et il a maintenant dépassé ce stade. Mais ceux qui sont devenus dépendants de ces images addictives ont besoin d’une cure de désintoxication qui se pratique en groupe. D’ailleurs, renoncer à ces divertissements pervers et morbides a aidé l’humanité à se débarrasser définitivement d’un vieux démon, la guerre, sous toutes ses formes : guérilla, batailles rangées, en tranchées ou sabre au clair, ou bien économique, de sorte que plus personne ne se risque à blesser son prochain – ne parlons même pas de tuer, terme obscène s’il en est au XXIIIe siècle – et que les armes de toute nature, du glaive à la bombe atomique, sont reléguées dans les musées derrière d’épaisses vitrines. Jolisourire est un garçon bellement musclé par les exercices physiques, avec des tablettes de chocolat au-dessus du nombril et des biceps bien découpés ; de plus, sa superbe bandaison à l’approche de jeunes filles de son âge alliée au franc sourire que suggère son prénom le rend plutôt attirant pour les activités érotiques. Il s’approche d’un groupe de quatre filles qui devisaient joyeusement sur le thème de la diversité des membres virils, sujet amusant autant qu’inépuisable s’il en est, et leur propose de vérifier leurs propos à l’aune de sa propre anatomie. Puisqu’elles en ont la permission, les quatre demoiselles se plaisent à peloter, mesurer et tripoter dans tous les sens le complaisant jeune ...
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