Une soirée antillaise torride
Datte: 03/07/2017,
Catégories:
fh,
fhh,
couple,
extraoffre,
inconnu,
grossexe,
grosseins,
boitenuit,
Voyeur / Exhib / Nudisme
strip,
BDSM / Fétichisme
odeurs,
ffontaine,
entreseins,
Oral
nopéné,
occasion,
Partouze / Groupe
Le punch coule à flots. Au rhum, à la noix de coco, au gingembre. Ah, le gingembre… Le buffet regorge d’acras de morue, de chutneys, de crevettes grillées pimentées, de langoustes, d’ananas en carpaccio, de bananes présentées de façon érotique, … Le carton d’invitation annonçait une soirée chaude, chaude… Et ce n’est qu’un début. Mais à propos, à qui devons-nous d’être ce soir dans cette cave, dans cette soirée dont la majorité des participants sont noirs, originaires des Antilles, vêtus de tenues hautement colorées pour les femmes, pantalon blanc et chemisette blanche pour les hommes ? Maintenant que tous les invités ont fait honneur au buffet… et surtout aux punchs, la musique créole monte, monte et les couples vont sur la piste sur ces rythmes syncopés, lancinants, envoûtants. Hélène et moi restons assis prudemment au bar, histoire de récupérer de la dégustation des différents punchs, nous contentant du spectacle de ces couples déchaînés, heureux d’être sur la piste. Comme il fait très chaud, quelques chemises sont prestement enlevées sans aucune impudeur. Hélène, à l’évidence, ne manque pas de s’intéresser à ces corps d’hommes luisants, musclés, pour certains adeptes du body-building. Son regard intéressé attire l’attention d’un superbe Martiniquais dansant avec une plantureuse noire. L’homme nous invite à venir les rejoindre sur la piste. Devant notre hésitation, il prend Hélène par la main et l’emmène avec lui sur la piste. Et me voici embarqué à mon tour par cette ...
... superbe Antillaise qui doit bien me dépasser de quelques centimètres et avec une poitrine impressionnante. Nous tentons bien d’adopter une attitude de circonstance, et Hélène sourit de me voir dans les bras d’une si imposante noire. Je souris moins de voir notre Antillais sembler déjà bien familier avec ma petite femme. Il est vrai qu’elle est mignonne, dans cette robe de cocktail aux fines bretelles qui lui moule bien le corps. Mais quand même, de là à lui coller déjà au corps, lui passer la jambe droite dans son entrejambe, lui passer les mains dans le dos le long de la colonne vertébrale… Et cet autre Antillais, une bouteille de punch à la main, qui vient se coller derrière ma femme. La voilà prise en sandwich entre deux hommes, excellents danseurs, mais quand même… Ma cavalière n’apprécie guère que je m’intéresse plus à ma femme qu’à elle, et me voici le visage plaqué entre ses deux seins parfumés d’une eau de toilette capiteuse. Voilà qui me change des petits seins d’Hélène, fermes, bien proportionnés, dont les tétons réagissent très vite à mes sollicitations. Mais passer d’un 90 B à certainement un bon 105 E, cela surprend, même si abondance de bien ne nuit pas… Forcé d’oublier momentanément cette pauvre Hélène en perdition, je promène volontiers mes mains le long du corps de Christiane. Elle a bien voulu me confier son prénom. C’est quand même la moindre des choses, vu notre intimité naissante… — Dis-moi, mon petit (la voilà bien familière), pourquoi gardes-tu ta chemise ...