1. Première approche d’une sodomie 11 - LA MÉTAMORPHOSE


    Datte: 03/07/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    ... soirée. Roland ayant pris Angèl dans ses bras, l'embrasse dans le cou, affolant les sens de la quinquagénaire, qui se trouve encore excité de la jouissance subie dans le taxi. Puis il lui pelote les seins à travers sa robe arachnéenne et sa main s'enfonce entre ses cuisses, caressant le pubis à travers le tissu en soie, alors qu'Angel se colle contre l'homme dont elle a brusquement envie. « Qu'il la prenne, - là, - tout de suite » pense-t-elle, oubliant toute pudeur. D'ailleurs Roland a bien senti qu'elle était à point, aussi tout en dansant, il sort sa verge de son pantalon et retroussant la robe diaphane, il écarte d'une main les cuisses qui se dégagent sans difficulté, puis de l'autre main, il prend son énorme pénis, qu'il enfonce d'un seul jet dans le vagin qui brûlait d'être perforé. Tout en dansant, le couple copule dans la samba endiablée qui a succédé à l’alanguissement du slow. Ils cessent presque aussitôt de danser et s'écroulent, enchevêtrés l'un dans l'autre sur un canapé, continuant à coïter avec ardeur. Angèl, dépoitraillée et retroussée, lance ses jambes autour du torse du jeune homme en l'appelant à la baiser, se trémoussant sous les assauts du mâle qui la coïte sans discontinuer jusqu'à l'éjaculation finale. Je n'ai pas perdu de temps moi non plus, car tout en maintenant ma cavalière serrée contre moi, je lui dévore les seins qui se sont échappés de son corsage. Puis, ma main ...
    ... étant à la portée de la vulve qui s'offre avec tant d'impudence à mes attouchements, je la masturbe habilement, fourrant mes doigts dans son vagin qui dégouline déjà de mouille. Enfin m'asseyant sur un fauteuil, Katte se dispose à califourchon sur moi, défait ma fermeture de pantalon et sortant mon pénis devenu rigide entre le pouce et l'index, elle en ajuste le gland à l'écartement de sa vulve. Par petites pesées complaisantes du bassin, elle se l'enfourne lentement dans la chatte, se soulevant et se rabaissant en cadence sur mon vit, me faisant elle même l'amour. Elle me chevauche ainsi comme une cavale en furie, et, il ne nous faut pas très longtemps pour jouir presque ensemble, mettant un terme aux préliminaires de cette soirée qui promet d'être torride. Les deux femmes, un peu défaites, se rendent à la salle de bain pour se rafraîchir et se refaire une beauté, car leur maquillage et leur coiffure ont pâti de cette copulation endiablée. Elles en profitent pour retirer entièrement leurs vêtements, Angel ne conservant que sa guêpière en satin miel et ses bas, alors que Katte, qui a seulement gardé ses bas jarretières en lycra noir brillant, revêt un caraco très court en dentelle noire, soulignant encore davantage sa nudité. Avec Roland, nous nous douchons dans la seconde salle d'eau, puis, nous revêtant seulement de notre caleçon, nous nous retrouvons tous ensemble dans la chambre de Katte… À suivre 
«123»