Agnès
Datte: 08/12/2017,
Catégories:
fh,
ff,
fhh,
jeunes,
extracon,
vacances,
fsoumise,
vengeance,
contrainte,
Oral
pénétratio,
fsodo,
policier,
... reviendras pas du Golfe, tu seras vendue mon amour… à qui voudra payer, cher d’abord et puis à n’importe qui… Elle a un geste ambigu, je ne sais si c’est de désespoir ou d’agacement, j’insiste. — Tes filles t’aiment et moi aussi. Elle a comme un sursaut. Un éclair de fureur dans les yeux… — Toi ! Toi ! Je préférerais sucer des bites toutes ma vie dans un bordel que de supporter une seconde de plus tes caresses… Je suis bouleversé. Est-ce qu’elle accepte ce qui l’attend ? Pourquoi me déteste-elle à ce point ? J’entends l’autre ricaner. Pas longtemps. En une fraction de seconde, il a le museau noir de mon revolver sous le nez. Moi je suis hors de moi… — Ris encore, connard et je t’explose la bite qui te rend si fier. Souris ou bouge un doigt et je te promets que tu pisseras par un tuyau et tu chieras dans une poche en plastique. Tu as compris pauvre con ? Et pour être plus clair, je presse le canon de mon flingue aussi fort que je peux sur sa braguette encore ouverte. Il ne rit plus du tout, il est gris sous son bronzage et, sous le coup de la peur, pisse sous lui. Une large tache humide s’étend sur le canapé… Le caïd a les jetons. Il a senti que je suis sur le point de craquer… Je recule d’un pas. Mon revolver est toujours pointé sur le mec mais c’est Agnès que je regarde. Ses yeux me fusillent et, elle, n’a pas peur. Elle vient entre lui et moi, le protégeant de son corps. Le mec a immédiatement compris. — Tu as entendu, elle veut plus de toi, et tu auras même pas les ...
... couilles de tirer. Casse-toi pauvre type. Il la serre contre lui, s’en faisant un bouclier, et appelle « Paulo ! » Derrière lui, la porte d’entrée s’ouvre. Le mec a un rictus de victoire. Qui s’éteint immédiatement. Les deux mecs à la porte ont un air de flics qui ne trompe pas. Le premier rigole… — Paulo, il est plié en deux dehors. Il a voulu jouer au courageux… Son collègue aussi. C’est eux qui devaient casser les dents du commissaire ? Le mec est décontenancé, beaucoup trop d’informations à la fois pour lui. Il finit par comprendre et essaie de s’en tirer. — C’est une histoire privée, vous n’avez rien à faire ici et c’est ce monsieur qui me menace avec son arme.— L’affaire privée, c’est possible, répond le premier flic, moi je suis ici pour arrêter un trafiquant de drogue, vos affaires privées, j’y connais rien. Y avait 900 kilos dans le container. Ça fait une somme ça. Environ dix ans. Si on compte le trafic de petites putes mineures, que les collègues ont coincées dans un hôtel à Cannes ce soir, ça double. Pas votre bon jour, aujourd’hui.— Vous délirez, je suis un commerçant honnête.— Elles vous ont bien reconnu sur la photo. Bon, on l’embarque… Ils l’ont menotté, il a l’air misérable avec son futal trempé. Mais quand il m’a regardé c’est lui qui était encore le gagnant. — Tu l’as perdue connard, me souffle-t-il, elle a baisé qui je voulais et toi tu n’es qu’un flic cocu.— Tu as raison, je l’ai perdue. Toi, démerde-toi pour rester en prison longtemps. Quand tu sors, je te tue. ...