Pierre-Georges Mistouflet - Chapitres 4 à 7
Datte: 09/12/2017,
Catégories:
fh,
hagé,
fagée,
couple,
fdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
miroir,
BDSM / Fétichisme
Masturbation
Oral
pénétratio,
hgode,
... forêt. Les bas en soulignent le galbe, l’élégance des lignes et dissimulent ses quelques poils blonds. Notre « homme » ne peut s’empêcher, paumes ouvertes, de caresser le haut de ses cuisses frémissant sous le doux crissement de cette seconde peau. Si ces attouchements ne déclenchent pas une érection, ils occasionnent un frémissement des plus agréables. C’est sans hésitation qu’il se masse son bourgeon amorphe. Ses yeux s’arrêtent sur son bassin. Sa petite queue, au repos, remplit bien le string, le déformant à peine. Il a envie de nouvelles érections, mais il sait aussi que l’étoffe ne pourra les contenir. Il sait surtout qu’il n’avait pas eu de jouissances multiples depuis des lustres et même après six mois d’absence, après trois éjac… Il ne fallait pas qu’il rêve. P.G.M. poursuit son observation. Ventre plat, ni trop musclé, ni trop peu. Hanches joliment évasées. Il se contorsionne pour mieux apprécier les formes de son cul. Pas de problème ! Il a toujours été fier de ses deux lunes lisses, fermes, aux proportions parfaitement équilibrées. La ficelle mauve semble avoir réouvert une merveilleuse cicatrice qui accentue la rondeur de chacun des globes. Il réalise, soudain, le pourquoi du plaisir trop grand qu’il éprouve chaque fois que son épouse bien-aimée daigne régaler cette déchirure de sa langue. Le pourquoi de ces jouissances inopportunes quand, trop rarement, ladite langue s’aventure jusqu’à son anus, le pénètre. Autant Hélène aime, adore que P.G.M. défonce son ...
... beau cul de sa langue, de ses doigts et bien sûr de sa bite, autant, elle n’est guère friande pour lui rendre la pareille. Pierre-Georges Mistouflet se reprend et reprend le cours de ses minutieuses investigations. Sa poitrine. Ben oui ! Y’a un manque ! Le soutif« wonderbra » met en valeur ses deux mamelons. Mais ils ont beau être mis en valeur, ils n’en sont pas pour autant d’un volume satisfaisant. Volume ridicule même par rapport à la poitrine référence, celle d’Hélène : deux globes parfaits qui remplissent bien ses mains d’honnête homme. Une bonne poitrine ! Pas une poitrine en poire pour la belle Hélène, pas une poitrine de magazine, mais une poitrine bien drue, solide ! Une opulente poitrine de paysanne poitevine (les parents d’Hélène étaient cultivateurs dans le Poitou, mais P.G.M. avait su trouver ce qui se cachait derrière ses sabots !), une de ces poitrines à la carrosserie indéformable qui vieillissent bien, qui résistent au temps et aux intempéries. Une poitrine de cinquante-sept ans d’âge qui fait encore la pige à beaucoup de jeunes nénés mal accrochés et peut s’exhiber, sans fausse honte, sur une plage. Alors avec ces œufs sur le plat… Il a beau les comprimer, les presser l’un contre l’autre, il a l’impression qu’ils ne sont pas plus gros que les aréoles de son épouse. Faut dire que sa belle Hélène a des aréoles particulièrement prononcées. L’évocation des seins de sa belle déclenche quelque manifestation d’allégresse dans son entresol. La bite de Pierre-Georges ...