Petits flirts entre amis, chapitre 1
Datte: 09/12/2017,
Catégories:
grp,
couplus,
extraoffre,
fête,
intermast,
Oral
jeu,
entrecoup,
jeux,
J’embrasse un ami sur la bouche, dans le noir total. Sa langue cherche à ouvrir mes lèvres, j’ai du mal à l’accepter, j’élude, je fais semblant de vouloir le goûter lentement, avec curiosité. C’est pourtant le jeu. C’est le premier des quatre hommes qui sont debout, à chaque coin de la pièce. L’un d’eux est mon mari, les trois autres les maris de mes trois meilleures amies, qui sont aussi chacune dans le noir, en train de bécoter les autres gars - dont mon mari, donc. L’idée me rend un peu jalouse, mais j’ai accepté le jeu du « qui embrasse le mieux », proposé, à la fin de la soirée par une Olivia à moitié bourrée. Du moins en apparence. Comment ai-je pu me laisser entraîner là-dedans ? Les mains de l’ami que j’embrasse se posent sur mes hanches, descendent sur mes fesses. Je lui donne une petite tape et les lui écarte, silencieusement. On a dit : « Sans les mains ! ». Nos bouches se collent, s’ouvrent, nos langues se mêlent, on est debout, il est plus grand que moi, (évidemment puisque je mesure 1,53 m) le baiser est plus aisé, moins hésitant, meilleur. J’entends les copines soupirer d’aise. Toujours la pointe de honte et de jalousie. Je ferme les yeux, me laisse emporter. Olivia tape dans ses mains. La minute est passée. Les garçons ne savent pas quelle est la fille qui donne le signal. Je m’écarte de celui qui m’embrasse encore - et que je n’ai pas identifié - et lui trace une petite croix sur la joue avec mes doigts. C’est le signe que j’ai tiré au hasard dans la ...
... panière. Il me trace un ovale, autour des lèvres, et sa main caresse ma joue. Il a dû aimer. Je souris. Je me dirige vers la droite et trouve à tâtons mon deuxième concurrent. Son nez trouve le mien, les lèvres sont douces, il ne cherche pas à mettre la langue. Toujours pas mon mari. Je me rapproche, mordille les lèvres, teste avec un bout de langue. Il m’enlace sans ses bras musculeux, je me laisse faire, tant qu’il n’y met pas les mains. Je place mes bras autour de ses hanches, le baiser commence, langoureux. C’est certainement… Laurent, le mari de Sylvie. M’a-t-il reconnue ? Ou confondue avec sa femme ? Le baiser me fait partir, je sens à peine sa main quand elle passe sur mon T-shirt, et attrape un de mes seins. Il marque un temps d’arrêt mais ne retire pas sa main - il m’a donc confondue avec sa femme - et a vu la différence de poitrine… Je suis une petite asiatique fine (43 kg toute mouillée) avec de gros seins parfaits, au galbe idéal, malgré de tout petits mamelons qui réagissent à la moindre caresse, alors que les nichons de son épouse (un peu plus grande) sont petits et rondelets. Je le laisse profiter avant de retirer gentiment sa main mais le baiser reste passionné et fusionnel. Je me demande si Alain, mon mari, nous confondra aussi… La pointe de jalousie me vrille encore le cœur. Ce n’est qu’un jeu. Clap de fin d’Olivia. Je fais ma petite croix sur sa joue, il dessine un « V » sur la mienne. Laurent est donc le « V ». À priori. Déplacement vers la droite, je tâtonne, ...