Joëlle G. (1)
Datte: 09/12/2017,
Catégories:
Transexuels
L’histoire qui suit est véridique. Je me suis marié à 20 ans et depuis mon enfance, j’ai toujours été fasciné par les bottes de femme. Au fil des années, cette passion des bottes s’est muée en attrait pour tous les vêtements féminins, plus particulièrement les cuirs, mais sans aucune pulsion homosexuelle ou SM. Non, je rêve juste d’une étreinte telle qu’aucun des deux partenaires ne sache plus s’il est homme ou femme. Mon épouse n’admet pas ces fantasmes, alors je me ménage aussi souvent que possible un aller-retour pour mon jardin secret. Je n’avais à l’époque pas encore trouvé une femme avec qui réaliser mes fantasmes, mais avec l’une d’entre elles, je m’en étais déjà approché bien près… Au milieu des années 80, j’habitais dans le Val d’Oise une ancienne maison bourgeoise qui avait été divisée en 5 appartements. Il y avait une cave commune, dans laquelle chacun stockait ce qu’il voulait en toute confiance. Une des co-locataires s’appelait Joëlle. C’était une brune aux cheveux assez courts, qui mesurait environ 1,73 mètre (ma propre taille). Au fil des semaines, nous avons sympathisé avec elle. Elle avait une trentaine d’années et moi quatre de moins. Elle avait laissé dans cette cave commune une paire de bottes style Western que j’avais repérée comme étant à ma pointure. Je travaillais à cette époque en horaires décalés, et j’avais donc souvent du temps libre quand les gens (y compris mon épouse) allaient bosser. Un jour, je suis descendu à la cave et j’ai pris ces ...
... bottes, puis je suis allé faire des courses et diverses choses avec aux pieds des boots manifestement "féminins". Je me souviens qu’à un moment, dans un supermarché, un couple s’est arrêté dans une allée et m’a regardé avec curiosité : j’ai été troublé, et en même temps excité de voir qu’ils avaient "remarqué mes pieds". Quelques temps après (mais sans aucun rapport avec ce fait), Joëlle quitta son studio pour un 2 pièces, mais toujours dans le même village. Elle nous donna son adresse et nous restâmes ainsi en contact. Elle nous invita mon épouse et moi à prendre l’apéritif chez elle, pour fêter son installation. Ce soir là, je découvris dans sa chambre une superbe paire de bottes : elles étaient grises, doublées en cuir, montaient assez haut sur la jambe (juste quelques centimètres au-dessous du genou), et avaient des talons fins (mais pas un vrai talon aiguille) qui devait mesurer 6 ou 7 cm. A un moment, prétextant un changement de disque sur la chaîne Hi-Fi, je laissai les 2 filles dans le salon et j’enfilai en vitesse les bottes : elles étaient bien à ma taille. Je rechaussai mes tennis et terminai la soirée sans commentaires particuliers. Quelques jours plus tard, je croisai Joëlle dans la rue et je lui dis que j’avais repéré ses bottes, et que je les trouvais magnifiques. Connaissant d’avance la réponse, je lui demandai sa pointure et lui déclarai que j’aimerais beaucoup les essayer. Elle sourit et me répondit "pourquoi pas, aujourd’hui, je n’ai pas le temps, mais un de ces ...