Mes premiers pas d'escort
Datte: 09/12/2017,
Catégories:
fh,
inconnu,
prost,
fépilée,
hotel,
Oral
préservati,
totalsexe,
tarifé,
C’est depuis une fin de mois difficile que je vends mes charmes. J’ai beau avoir un bon job, la vie seule avec un ado n’est pas aisée tous les jours. J’avais, il y a trois ans de cela, entendu parler de prostitution occasionnelle. Depuis mon divorce, je n’avais jamais été en manque de sexe très longtemps. Et à bientôt quarante ans, on me trouve toujours aussi jolie, menue mais sans être maigre pour autant. J’avais donc décidé, après des semaines d’hésitation, de passer une annonce. Je n’y montrais pas mon visage : juste deux photos, l’une avec une vue de mon décolleté, l’autre où l’on voyait ma silhouette en tailleur bleu marine. J’avais acheté un téléphone portable spécialement dédié aux suites de cette annonce. Le tout très discrètement. Je mourais d’envie de vendre mon corps, c’était un fantasme qui me tenait depuis l’adolescence mais qui s’accompagnait dans le même temps d’une appréhension sans nom. Dès la parution de l’annonce, mon téléphone se met à sonner régulièrement. Après plusieurs refus (les grossiers, les impolis, ou tout simplement le manque de feeling), je finis par dire "oui" à un homme de passage dans la ville où je vis. Nous nous donnons rendez-vous pour le soir, au bar de l’hôtel où il a posé ses valises. La fébrilité qui entoure mes préparatifs n’est pas descriptible. Je me demande toutes les cinq minutes si oui ou non je dois y aller. Je sais que j’ai besoin d’argent, mais le nombre de questions qui m’assaillent en permanence me fait hésiter, encore et ...
... encore… Je m’habille, ainsi qu’il l’a demandé, comme sur la photo, en tailleur, chemisier et dessous blancs plutôt sages. Une paire de Dim-Up clairs vient porter la touche finale. Je téléphone, annonçant mon retard d’environ un quart d’heure, car ces interrogations sans réponse ont pris du temps. Lorsque j’arrive devant l’hôtel, même si c’est un hôtel assez cher (ce qui me rassure quelque peu), je me demande une fois de plus si je ne vais pas repartir sans garer ma voiture. Je finis, le cœur battant à toute vitesse, par pénétrer dans l’hôtel. Et là, surprise : il n’y a qu’une seule personne au comptoir du bar. Il m’a annoncé quarante-cinq ans au téléphone, et je lui en donne dix de moins, facilement. Je m’attendais à un vieux libidineux, et je tombe sur un bel homme ! De toute manière, je ne peux plus reculer. Cet homme qui me sourit maintenant, et m’invite d’un geste charmant à le rejoindre est mon amant de ce soir. Que nos amours lui soient tarifées ne doit plus rien changer : les dés sont jetés. Nous faisons connaissance, il me dit s’appeler Thierry, et je n’en crois rien : je me suis moi-même donnée un prénom d’emprunt. Il est plutôt charmant, et doit avoir l’habitude de se faire escorter, il est très détendu. Au bout d’environ un quart d’heure, toujours en me vouvoyant, il me demande de l’accompagner. Je sens à nouveau mon cœur redémarrer à toute vitesse, alors qu’au fond de moi, je pense aussi : « enfin » ! Nous nous levons et dans l’ascenseur, brusquement il me saisit la ...