Jalousie, quand tu nous tiens !
Datte: 10/12/2017,
Catégories:
f,
fh,
hplusag,
couple,
extracon,
parking,
Collègues / Travail
amour,
fsoumise,
hdomine,
cérébral,
Masturbation
Oral
pénétratio,
fsodo,
jeu,
sm,
... chez lui, et alors… Il essaya de chasser les sordides images qui envahissaient son esprit. Il lui était insupportable d’imaginer SA maîtresse, SA jeune maîtresse, qui n’avait jusqu’à présent connu QUE lui, dans les bras d’un autre. Son corps parcouru par ces mains étrangères. Ses cuisses ouvertes pour un autre sexe. Sa fente fondant sous d’autres doigts, d’autres lèvres. Ses tétons pointant sous cette nouvelle langue. Les mots doux qu’elle avait pu lui murmurer, sans doute les mêmes qu’elle lui susurrait au creux de l’oreille lorsque son plaisir montait en flèche. Oui, son plaisir. Il détestait l’idée qu’elle ait été heureuse ne serait-ce qu’un soir avec un autre. Et pire que tout, que cet autre l’ait fait jouir. Ça, il avait cru pendant longtemps que c’était son privilège. Et pendant longtemps aussi, il avait cru que la jalousie n’appartenait pas à son monde, à un tel point qu’il avait encouragé Mariane (qui heureusement ne l’avait jamais écouté) à sortir avec d’autres hommes. Il s’efforçait de ne pas penser à Mariane et à ce p’tit con, mais il ne pouvait s’en empêcher. Il en souffrait et pourtant… il bandait, également. Comme un taureau. Le plaisir de Mariane l’excitait malgré tout, même si c’était un autre qui le lui donnait. Il avait beau être jaloux, il n’en restait pas moins un homme cérébral, voyeur, profitant du spectacle du plaisir féminin. Mais pourquoi donc suis-je ainsi jaloux, se demandait-il… (…) Il errait dans les rues, depuis combien de temps ? Il ne se ...
... souvenait plus. Il avait erré de bar en bar, de mojito en mojito… Il avait seulement ces répugnantes pensées dans la tête et cette rage qui commençait à empoigner son cœur. Il avait envie de retourner au pub celtique, de se jeter sur ce bellâtre, de lui arracher ce qu’il avait entre les jambes et de lui faire bouffer. Par hasard ou par acte manqué, ses pas l’avaient mené devant le studio de Sophie. Il ne voulait voir personne, surtout pas elle qui l’avait si souvent discrédité aux yeux de sa maîtresse. Pourtant, il laissa son doigt actionner la sonnette. Sophie vint rapidement ouvrir la porte. Elle était en pyjama : un petit débardeur qui dévoilait ses formes voluptueuses et un short qui ne cachait rien de ses jambes. Sur le moment, une bouffée de désir animal envahit Pablo. Il eut envie de la plaquer contre le mur, de lui arracher sa légère tenue, tenue de salope qui d’ailleurs n’était faite que pour allumer les hommes, et lui faire l’amour sauvagement, la violer, l’obliger à recevoir sa grosse queue dans son ventre, sa bouche, son cul… Décidément, l’alcool ne rendait pas intelligent… Mais il resta immobile sur le pas de la porte. C’était un fantasme propre à Mariane, qu’il lui avait déjà plusieurs fois permis d’assouvir, et bien qu’il soit un peu soûl, il pouvait encore discerner la réalité du fantasme. C’était un jeu qu’ils adoraient. Il adorait l’entendre crier sous ses gestes qu’il se permettait plus brutaux, lui crier de s’arrêter alors qu’elle n’avait qu’une envie, qu’il ...