1. Une semaine aux Baléares


    Datte: 10/12/2017, Catégories: f, fh, inconnu, bain, hotel, pénétratio, uro, ecriv_f,

    ... ma volonté pour y résister. Devant l’échec de ses tentatives il dépose un baiser sur mon genou, puis sur l’intérieur de ma cuisse. Non préparée à la douceur de ce baiser, j’ai peine à y résister. Je me sens déjà ruisselante dans ma culotte. Lentement ses baisers montent le long de ma cuisse tandis que sa tête s’enfonce sous ma jupe protégeant la pudeur de mes yeux. Je sens maintenant ses baisers atteindre ma culotte, rendre hommage à mon mont de Vénus. Je sa langue se presser contre le pontet humide de ma culotte entre mes cuisses. Je veux résister mais avec la complicité du voile pudique de ma jupe sur les assauts de cette bouche, je sens inexorablement ma chair échapper à mon contrôle. Je ne peux réprimer mes hanches qui s’animent de micro mouvements. La bouche de Jacques les a sûrement détectés car sa fougue augmente. Mes hanches ne peuvent résister plus longtemps, elles s’animent, je capitule. Jacques a compris ; Il fait glisser lentement mon slip le long de mes hanches tandis que sa bouche investit au fur et à mesure le terrain libéré de son écran. Qu’elle est bonne cette bouche qui viole la virginité de mon intimité sans s’exposer à mes regards désemparés. Mes hanches offre malgré moi mon clitoris à cette langue qui l’enlace. Qu’elle est bonne cette langue qui butine le miel de mon sillon. Je l’imagine aussi grisant pour Jacques qu’il l’était pour moi Je voulais me laisser jouir de sa lèche partout j’essayais d’écarter mes jambes mais elle étaient entravées par ma ...
    ... culotte descendue à peine à mi cuisse. Jacques le compris et me débarrassa totalement de ma culotte en la faisant glisser le long de mes jambes. Que c’est bon d’être comprise sans un mot. Jacques repris sa lèche avec encore plus de fougue. J’écartais mes cuisses le plus que je pouvais pour laisser le champ libre à sa bouche et à sa langue. Hmmm quel délice de sentir sa langue s’enfoncer loin en moi avide de mon suc que je sentais suinter de mon puits avec délice, délice de le satisfaire, délice d’être prise, possédée dans les recoins les plus reculés de ma chair. J’exultais. Je compris vite que le meilleur moyen de m’offrir à lui sans la moindre réserve c’était de replier mes jambes sur moi-même. Je lui offrais ainsi l’intégralité de mon intimité qu’il pouvait dévorer à sa guise à la carte. Je sentis aussitôt sa langue plonger entre mes fesses pour lécher mon œillet. Délice encore inconnu, C’était si jouissif. " Oui Jacques, pensais je dans mon esprit, bouffe moi ". Je sentis sa langue prendre possession de l’étroit goulet que dont l’entrée est gardée par mon œillet, C’était si bon. Me sentir pénétrée par là. Encore des interdits dont je me sentais libérée. J’aurais voulu qu’il me goûte, me mange et je le sentais bien avide de moi, mais les réflexes de l’interdit n’étaient pas encore vaincus. Mes mains tiraient sur mes genoux pour m’offrir toujours plus. Conscient que j’étais arrivée à un point de non retour Jacques repris son manège alternativement sur mon clitoris et dans mon ...
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